une architecture vertueuse

29 Pages·2016·4.61 MB·French

Enseignement ‘A la recherche d’une architecture vertueuse’
MasTER 1
Une pratique de projet COLLECTIVE, COLLABORATIVE et EXPERIMENTALE
ENSAL Conception + coordination des enseignements et encadrement des étudiants :
Sept. - Déc. 2015 Paul VINCENT, Estelle MORLE et Emmanuel RITZ
Dem AV / à la recherche d’une Architecture Vertueuse Lundi 19 octobre / Présentation intermédiaire
Une pratique de projet collective, collaborative et expérimentale Encadrement P. Vincent, E. Morlé, E. Ritz
+ ONE /A. Boulanger Cartier, B. Fournier, A. Jadaud, M. Padilla FerTILE /F. Lezais, L. Pose, F. Cevrero, Y. Neuburger
SMARTwall / C. Zhang, D.Guerry, H. Almquist, V. Didier inVENTion /J. Rauscher, L. Nef, T. Chouechi, C. Vaillant
Domaine d’étude de master 1 // Atelier + Séminaires + Worshop (216h étudiantes)
Effectif : 16 étudiants
atelier de projet (120h) : 4 thématiques : Voir le vent / La pièce manquante / Le mur épais vertueux / La tuile végétalisée
3 séminaires collaboratifs (64h) : La mixité des usages (O. Caro) / Comprendre et voir le vent (J. Gandermer et S. Moreau) /
La nature (C. Guinaudeau)
1 Worshop expérimental (32h) aux Grands Ateliers de l’Isle d’Abeau
1
/
+ ONE
A. Boulanger Cartier, B. Fournier, A. Jadaud, M. Padilla
/
le MURoir
J. Rauscher, L. Nef, T. Chouechi, C. Vaillant
/
FerTILE
F. Lezais, L. Pose, F. Cevrero, Y. Neuburger
//
Dem AV
à la recherche d’une Architecture Vertueuse
Une pratique de projet collective, collaborative et expérimentale
ENSAL / Automne 2015
Encadrement de l’atelier P. Vincent, E. Morlé, E. Ritz
/
SMARTwall C. Zhang, D.Guerry, H. Almquist, V. Didier
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‘A la recherche d’une architecture vertueuse’
Une pratique de projet COLLECTIVE, COLLABORATIVE et EXPERIMENTALE
Présentation
Ce Domaine d’Etude de Master s’est construit autour de Paul Vincent et de son réseau partenarial, abor-
dant un ensemble de questions émergées de situations de projet réelles. L’ambition affichée de ce DEM
est d’emmener les étudiants vers une pratique de projet COLLECTIVE, COLLABORATIVE et EXPERI-
MENTALE sur les chemins tortueux de l’innovation au service d’une architecture vertueuse « dessinée
avec le soleil et le vent ».
Paul Vincent a été pendant plus de trente ans associé puis partenaire du Renzo Piano Building Works-
hop (RPBW). Du premier au plus récent, chaque projet a été pour lui le support de dépôts de brevets ou
ATEx avec l’appui de multiples partenariats. Les principaux projets développés sous sa direction sont
l’IRCAM (Paris), la Cité Internationale (Lyon), le centre culturel JM. Tjibaou (Nouméa), la Maison Hermès
(Tokyo), la Tour bio-climatique Intesa Sanpaolo (Turin), la colline de Ronchamp et la citadelle universi-
taire (Amiens).
Un choix récent a mené Paul Vincent vers l’enseignement à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture
de Lyon. L’ENSAL a saisi l’opportunité de ce recrutement pour proposer un nouvel enseignement de
master partagé avec les enseignants Estelle Morlé et Emmanuel Ritz.
Cet enseignement a été conçu comme expérimental à de multiples égards, également dans son ap-
porche pédagogique bénéficiant de l’accompagnement du pédagogue Jean-Loup Castaigne.
Participations aux enseignements
• atelier de projet :
Encadrement : Paul VINCENT, Emmanuel RITZ et Estelle MORLE
Conseiller prédagogique : Jean-Loup Castaigne
Partenaire industriel : TERREAL, (Philippe MALE) et la pépinière RENAULT pour les projets
‘mur épais vertueux’ et ‘tuile végétalisée’
Partenaire ingénieur : AIA (Cédrick CHAIGNEAU)
Partenaire institutionnel : Ecole Centrale de Lyon pour les essais en soufflerie du projet ‘voir le
vent’ (Pietro SALIZZONI)
• Worshop : équipe atelier de projet accompagnée de Rémy MOUTERDE (Ensal) et des
maquettistes Agnès et Olivier DOIZY
• séminaire ‘la mixité des usages’ : Paul VINCENT, Estelle MORLE, Stéphan COURTEIX
(enseignants ENSAL) et Olivier CARO (BOC bureau d’étude en urbanisme et ingénierie de
projets, spécialiste de ‘la vie heureuse’)
• séminaire le vent et la nature: Paul VINCENT, Estelle MORLE et Claude GUINAUDEAU
(ingénieur horticole, partenaire RPBW).
3
4
Une pratique EXPERIMENTALE //
Dem aV L’innovation technique
Master 1
ateLier de projet + worshop expérimentaL (Grands ateLiers de L’isLe d’abeau)
atelier de projet
4 thématiques abordées, 2 conduisant au dépôt de brevets en copopriété ENSAL-TERREAL
Workshop
Heures étudiants : 120+32h d’encadrement
Tests aérauliques aux Grands ateliers avec
Cédrick CHaIGNEaU (ingénieur thermicien aIa)
Quatres thématiques ont été définies préalablement
par l’équipe encadrante puis présentées aux étu-
diants lors du séminaire de rentrée avant leur choix
d’orientation. Nous avons demandé aux 16 étudiants
sélectionnés pour participer au Dem AV de produire
au préalable une fiche de référence inspirée d’un
des 4 thèmes présentés. Ce premier travail a servis
de base à l’équipe encadrante pour constituer les 4
équipes de 4 étudiants qui ont mené le projet collec-
tivement sur l’ensemble du semestre.
Le workshop est venu en support de l’atelier de pro-
jet pour la conception et la réalisation de 4 proto-
types à échelle 1 reprennant les 4 thématiques de
projet.
Cette étape est fondamentale au développement du
projet car elle permet aux étudiants de questionner
la mise en oeuvre de l’architecture à échelle réelle
: recherche et commande de produits / matériaux
existants, chiffrage des coûts, plans d’exécution et
exécution. En plus de leur permettre d’appréhender
la dimension constructive de la réflexion architectu-
rale, le deuxième objectif est de développer une dé-
marche de Recherche & Développement appliquée
à la conception architecturale :
1/ Formulation d’hypothèses (explicitation des attendus),
2/ Mise au point de procédés d’expérimentation
3/ Analyse des résultats obtenus permettant un retour vers le projet.
En particulier pour les projets «voir le vent» testé dans la soufflerie de l’Ecole Centrale de Lyon, le projet
du « mur actif » support d’expérimentations instrumentées (anémomètre, fumigènes), et le projet de la
pièce destiné testé insitu à l’ENSAL par les usagers (format d’une assise).
Tests aérauliques à la soufflerie de l’Ecole
Centrale de Lyon avec Pietro saLIZZONI
5
AA.B.Bouolaunlagenr gCearrt iCer a- rBt.iFeoru -r nBie.rF - oAu.Jrandaieurd -- MA..PJaaddillaa u d // - M Mas.tPera 1d /i/l l a D E M / /" I nMnoavsert epor u1r u/n/ e ADrcEhMitec "tuInren Voevrteuer upsoe"u r / /u 2n0e1 5A-2r0c1h6i t e //c t uEr.Me oVrlee r- tEu.eRuitzs -e P". V in//c e 2nt015-2016 // E.Morle - E.Ritz - P.Vincent
+ONE Rendu Final 16.12.2015
+O+NOEN REe n Rdue Fnindaul 1F6i.n12a.2l 0 1156 .12.2015
A.Boulanger Cartier - B.Fournier - A.Jadaud +- MO.PNadiElla R// Meanstder u1 / / F DiEnMa "Iln n 1ov6er .p1ou2r .u2ne0 A1rc5hit ecture Vertueuse" // 2015-2016 // E.Morle - E.Ritz - P.Vincent
+ONE Rendu Final 16.12.2015 + C o n t e x t u a l i s e r
+ONE Rendu Final 16.12.2015 + C o n c e v o i r
+ C o n c e-PvROoBLÉiMATrIQUE
+L’ E N S A L + C HOIX DANS LE CATALOGUE
Comment penser l’architecture
+L’ E N SévoluAtive daLns le bâti ex+istantC ? HOIX DANS LE CATALOGUE
Cqueertsatiinosn nlieenutx , lian téproiesusribsi loitué edx’téCétreieenu ldirerse,u est celui de l’émergence de notre OPTION
Ce lieu est celui de l’émergenlmecuaernsq d ueeu sns.a oCgteer esp r ojpeot aupr pocrotem àb ll’eernréx oiflsutdeasenxs ti opnra gtilqouboanles c. aCr iol sm’amgeit d ’ubne laieuuc qouuep OPTION
réflexion globale car il s’agit du’nu nca lriaecutè qreu em ultifonctionnel, évolutif
nous pratiquons. Comme e t bmeoaduuclaoireu.p + ONE fait évoldue’ér cleosl es, l’ENSAL manque de place
lieux dans lesquels elle s’insèpreo vuerr ss es étudiants. En effet, l’ENSAL
d’écoles, l’ENSAL manquede sd eq uapliltaésc ep lus «vertueusepso»s sdeè de plusieurs grandes salles, mais
pour ses étudiants. En effecot,n fol’rEt dN’aSmAbLia nces et d’usages selon
possède plusieurs grandes lseas lsleaisso, nms.a is très peu d’espaces restreints où peuvent
s’animer des réunions en petit comité
AE.Bureoxupola // nFgoueler p Cermaarnteientre -lo rBs d.Feso sualornnsi er - A.Jadtsar’èuasnd pi m-e ueM rd .’dPeesaspd arilcélaeu sn r ioe /ns/ ts rM eeinant s-spt oeePùtri tp1 Rec uo/O/vm eG iDntéRtE AMM "MInEnove(ra pssooucri autniveeE sAN SrAocLhu / i/t Oetrùca ptveuaurti-elo nV eseen r rétugunreiro u?u spee") , // 2015-2016 // E.Morle - E.Ritz - P.Vincent
A.Boulanger Cartier - B.Fournier - A.Jadaud +- M+O.PONadNiEllaE R/ / R Meaenstnderd u1 u/ / F DFiEniMna "aIln nl 1o v16e(sra6e .ps 1s.odo1éu2ctrei 2a.unt2ndi.ver2e0e sA 0 l1’reoc1s5hup i5ta etcrca etv uadri’elu nVe enin rtsgutareonuuts,p eeo")u , // 2015-20ss1eim6 dp él/et/em n e dEnr.teM lloi’reresle p ua- ncE e. lRidrei’tuz n a- uiPn .sVctaainnlmcte,e no…tu « se réunir» « s’accouder» « s’asseoir» « se reposer »
++OONNEE R Reenndduu F Fininaal l 1 166.1.122.2.2001155 sNimosp lmemodeunlte sl iroen t uanlo rlsir eé téa rl eéucsp r +oéec nésOdapsrNlaem c Epeàe os a… uu mrnp aonpuqrro u+bvaolnèctmsa.te io «C nr eés tcdetueNre xér r Créop1epviunesèotnnc neimir:r d»oroed «uà l sec’saen csxoc b2noeut dsaceolori»nrss meétuél tci«prv élse’éassxs. s2Vpoeoooiuilràr» i r« se rexp4xo1ser » x2 x2 x4
répondre à ces besoins muletnip pleluss. nV’eositl àpa s un ajout de spuorfaucreq, uoi l’ENSAL s’est équipée de
+ pCourquooi l’EnNSALc s’eset émqauvisi puén eao joudte d ’eispacre. Un cattaoluogsu ele s typologies de modules, soit :
propose des modules adaptés à ces
tous les typologies de modmualneqsu,e ss: o«site :r eposer», «s’acc+o«usd’eaErs»,s eoUir», «Rse réuEnir», X«s’accPoudeOr» + C HOIX DANS LE CATALOGUE
«se reposer»// Gauche «se reposer» // Droite «se reposer» /«/ Gsa’aucshsee «osier »re,p o«sseer» r//é Duronitier », «s«’sa’acscsoeuoidr»e ert» « se réunir». Le emto d«uslee repos«es’ra»cc.o uder» // 1 : 20 «s’asseoir» // 1 : 20 «se réunir» // 1 : 20
Entrée // 1 : 20 Entrée // 1 : 20 Fin // 1 : 20 +et «Ese rFeUinp /o/ 1s e: 2rR0». E X«esffee tr,P el’paocstieornO» dpeo ssseè dreep 4o s+vearr iannétcCeess.s Eitne HOIX DANS LE CATALOGUE
une intimité plus recherchée Icqui,i +seO NE se fond dans la masse des
traduit par un espace isolé, uns tcaocnodns et des personnes venues au
-C eL apr oPjeItE qCueEs tiMonaneN lq’exUteansNioTnE Isse«dctanR iae,l / oenfs+a/npd Oi .èstC p rCuNeoeneE»ot sp s sedmysenecmi ’bdsefbm aosioplnntil eettde ér sesedasnotfa f nuecntdnoncs et’u p irulvslaeeee s psdc4dsummveeeo eèarn l en l rraeetcgbepnsey s nsferpqlu.eéeecs tourseh eumelrisoe oesfe gnaeipu s dritn roediamanr et ssn oqlsueesea tiu’u r :laernd ac ’lo ua’spucrmnsiesès ecmatcitd sgeeehepe .es rrteI.ly li’ s empNtenop oixeètleliurosriérsgese«betmcee i aeanRo eupd tvltd ntaoeoosfuax’anuinnonprnensic iettr.èt d erCueodne» én pé sfineynvncméi’tdoeibsoason,lnt lu ,eti n steecatitfaév fuerc reoncitàu eirF v leouedeypEuermèarrus rerb enenol.exts upuoe uel, nreoxeiil t bérâietui res,x pisatra l’nintt é?- REALISE PAR UN PRODUIFT oAyUeTOr DESK A BUT EDUCATIF
A.Boulanger Cartier - B.Fournier - A.Jadaud - M.Padilla // MA.aBsoteugrla 1rn ag//e t r i DoCEanMrt i ed"Irn ’-un Bon.vFeeor u prponuiieèrr u c-n Aee. JA asrdcuhaiuptedcp -t ulMére.Pm Vaederitlulnae ut a s/e/ i" rbM e oa//n s m tn2e0er o1 15 dd/-/2 éu 0 fiD1lna6Ei Mt b i/o /l" neI n , nE eo.cMvtaeo rarr lpedoà -ua Er efpE.ueRnnrutsmietarez eemA br-x r blPcpalle.he Vos,i tui, ene aitccte tieu.ulu nLrnxetoe r Vsss edearectuo ilesanu doceso enmq" pusps oia /e./sv lri otiL2meion0nanet1 d5 ttte-rh2a 0véi1te 6mnRa E i Aur/aL/ xI sS tE e iPvEq Air.RsMeu UiNtpoee ProlRue Osdr De-sU eEIr T, .eA RsUlxaTietOtzéD dEp-nS éKPui .èAtVée BicsUnnT cde EdeDr UnueeCt AnTIF plus questionne
le caractère multifonctionnel, modpuerlmaeirtetra eit ta éuxv ovilsuitteiuf rds eed xleta élan cupoiéèscne cdil uen ’pestt ipoans o ablirgactohiriet edec turale au service de la transformation d’un
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Le bâtim+e nt Cde ol’écnoles d’tarrchuiteciteequrttu rseaee se fsmodoreemutrt edrLe isy +àsoO al+’nnNétc E aad ru ta é dcsCctuaée bluo rcinuolllpc.aheiht e ouLoifneitaxen ric cims enoetcesm iscro i.msso ccAmalaooeinnnpnsdsomtt ies, re umrl,ren ss ee mmloua onîstd rseuue liesdp s’bo qcpedurousevoo rreasiprn goestsenf , o qcruami ren ep+ deOerNmmEae nadttceacnnet uqtR iuulalee’àu sax’ian évsait culhedisri ants d’initie«r s c’aecxct2oteud er» Rue « s’asxs3eoir »
réflexion g+énDériÉqTuAeIL àS pCaOrNtiSr TdReU lCeuTcIroF rvpSsé qcuui .n e deman+deDnt qÉula’Tà pA sièI’caLevS +aO cCNhEOir. NSTRUCTaIFpr«Sè ss’ aucnceou jdoeurr»née de piétinement. « s’asseoir »
Il a xa2insi interessé l’organisme x3
après une journée de piétinement.
// plans de +ONE // ENSAL // 1.20ème Il a ainsi interessé l’organism// ec oupe de +ONpEro //p EriéNtSaAirLe // d1’.E20uèremxepo comme une
// plans de +ONE // ENSAL // 1.20ème // coupe de +ONpEro //p EriéNtSaAirLe // d1’.E20uèremxepo comme une option à proposer aux locataires et
option à proposer aux locataires et organisateurs de salons. Ils ont ainsi
organisateurs de salons. Ils ont ainsi choisi de commander principalement
choisi de commander principalement des modules «sBi’balisotshèeqoueir » et Bibliothèque
des modules «s’asseoir» et «s’accouder».
«s’accouder».
// Plan de toiture // Emplacement des LED // Plan de toiture // Emplacement des LED
dans un module // 1.20ème dans un module // 1.20ème
N N
Pdaen nbeoaisu // palacMonou usdsteisq eu+ eOTaNssEeat ê/uB/t eoE ubuloorrnge ànxe pMo o/u/ s1s.e20ème //DPédatean inbl eo///ai /s1u :p 1lanac Mdooueus st/+i/sqDeOué etNaTailE slas /me/at pêEuBeteo uà u/br /lLoe ocErnxgoD pànu e/o/p 1Me/:/2o d1use.s2 e+0OèmNEe /+/Lmpmdop+« EeoiùrsOsaaéu’su paNnnsLr preochqqe Eoxcnôuun/u,p/vo/i/ peetD’b roo.Duéi st l dtca éedt/a.at/ea na ecH iuDl1qi ttolr/px i /.»/oaue 2m/l1 l caM,ne1ee :0o 1p:pco n u1èÔulpesob ums«tdFe,isessq seeeeruéus,a’ et ao uMPnd+sirn/oSLEEPBOXnc’Oé/seDu e depstséNe eseootpsIaesElsin ioalrt l + REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF»dl PfrrLqlAmedcincadaPeoeééoeuterelr rmTet aen uffcujémdese éénunidcsspheRl e rr meP lnapoieeeeeis eensnlterooa ulreiunntt uàlt onaàe/o rmsp veeAc rcc /régluneeLe-dte st SeeÉmmaf uUicE nrra ésmssulnTcreaeo«pt DcurF eaeea oqdfleep xnnuoeees +psmu’+/nnnÉp rLu/rspDpddeusssei cOmO npttes1rsRseee Boaca:rNfea 2éssfi iucàgoplgEdE ichlhg eexeecee efiens sNsTos lnos e,d d .im( (+sg ntà’C’àdLéduoAieOtboo eeee sng drlnEn esac taéNr+ t+«P horgu tdmS péPdDEO ie pcetopsee eoaGsahuNs e ru’n)d,d/rebba m+r r.E/ nbu Lmpmdop+«eromo)lb c’e i CEelasiuxeseeeoiùrssOucia:ssstsaapp élt sue1’oudsu nio p paudnd Nnnls Lraquil pro doneéneeeochmqqeeu dEreueosssssxctinôs/uun e/u,pvo ipH peetrD’broo.»uaéi st l dtcFANTASYLANDa edt/ca.aO/ea n ecHie ulD1 q tto/ra pxi/ .d»o uecM2m1lI loa’,neee: 0aou1 Xppcu n sètÔslttpeobi um/esq«d/Fe,s ee usnM «see eDrueés,t aM’ ites aos uPnod+eesirAunnc ’Oé sseer e esxdepntsNeeN ep4eoo pssIosElsini oadPtrstl u eREALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIFS»d incaaee anrc rTet rujénaet usi e»ero me tsa eLonnnliuntltonàe ee A/ g/EdtT mmE«iarrmueas «cNeess lnneeese’SnnCaLaddesssAttsxu sL2Afie T lReoigtTDéiere C»A /Pd/+ e«P1aL n .bos1nou’e0Oiasa0rcu Cxè ucGm1onu eedUsepHr»EacOe dI’aXtt/e/ nM«Dt iesseeA erexnNp4REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF soitsuSeart i »oLn //E E« Ns ’SCaAsxsL2Ae RoTDir C»A // 1L.10O0èGmeUE REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF
reposer», est PulannecAh .pBeoiruèlacngeer iCdarétiears - leBe.lFo opnur onieuler r-s A u.Jnamdeaaun d q- Mu.ePasd illaid e //n Mtiafisétesrr e 1 /p/: oDsEseMe "Inrn»ov,e er psouPtr luuannen cAehrceh pirteicèturce eVe ritudeuésea" l e// 2p01o5-u20r16 u /n/ e E. Morle - E.Ritz - P.Vincent
salle d’attente au+t+OaOnNNtE PEp oR Rueren nrdleedupsuo F spFienairn,at iales l’ na 1 c16tsc6.o1 .u12d2.2e.2r0, 01s15’5a s seoirs aeltl es ed ’atRtente autant pour les patients
que pour les familles.O réunir. que po+u r lCes ofamnilslest.r u i r e
//Détail // 1:1 /+eqepc/ eCnutaO inod NdnuusuEeepenoue a e cxssua o ex dem p éuvnmatnepatrioeuotitliéu ltseé ssels ee s ts r:de«p u/esslu/cu .o 1nt sbuuL.e 2orsp’ ea0iilpsm esèa sm»dpere ételtiem ceda o pbev«mole arscpciggsa oeiirdbs tleédole+e»eenEmpdesLf:a ietatèé i t « cedmLlseos e’ot ar/cd/rsd+Ds/ui’/AnquDuéOsct uénleateNtui’eeaolis liE/rt l i/ e r/«1 /a»Ps d:p1s1l.’:teaede1e gue rrndit ét ai uLpsb++n A+dc.nlBNOaoOuuOlca/5NuNn67ei+eqepcg/P-UPOFFICEsMeErr tE eCeaC Enuta t O ôr»te i eN eF2r inP-,o i5BCd cNt,.0 FRrdhoArnLu uus ereuneOA Ei «eemepesrnT 1-do TA,an2U.une Ja t5aseaOeéd RaeLiesdéqceéArcuxsstuidamT cEa ’-v oo’Mrutetutto eYac .ex Pd é uo1aec0dPeanme im pai,B ls5l écau dvl0E d nmgto ne adpcGmtp lnepipce0a’tia reaumtn5io Pobveuro tRio+torn2.Oplémi6cs ééo1uTs l.ts1eOeolt1éct1 Tur.seaOp2sY réuussMe0ls. yPo1esoe2iE15rei g 4sce dé1 to 23s0 iesj ne rno:Ne,ed1ee« epi uel s f5nnd/tfotresssosluu/ e cE suEt Areen. eo l ré1nat .Ra»nDs12345671234tbdu ri uDrLv.àrer.,tueEum t2r PPPmC5R5T1RDDoeÉiMrMpCpTàLec ssp’,ccislo Elllichooiigo i0aeaaasolaa nmma rtneunDeqelDaA0sqqqqnu mmo0li demvld usmuduuuhus eiu Vddaaeèèr ie Eo.seéeeeltsnuofipeebixv tttslu ée csss 1rrlelémmn 0 l nedee beseeèe+dde o Lscos,adddcesto’ uei1iiu é dpp2iiaaac eee arnnduO0tpm2a egr,mmtonrp rvptte0èmebcma,ss éémnu»ée0e dp0èèna o nrrbeesx2tocN0umiitt epereraaiseeost0rr s,tusmir eepf2lor quuix, oleossi0 la5nEx u1qrriateesér p 6c1msîmte,u11etxttetlt1nrmis , ent ccs s1 0x a p0dpiuemms emu1m0 teom ea ecspt8emiu u F sepmdcprxèru doa eei ls i0svarf oc ,otlru o0sefpibt,f ahnr5 a c4rrev c eégpmn2li 0eeee «mt0ke eénd ole gsd1eeFmex raea5eecttér+h/ts+ 2 arfés afsci,r pe0ccieaot6il géduPunl1i égnrOni6 «ds sea:rdlel oseu nieerea aimi li’u roe doéNebsnentdà s tsu1 :la5llseneéod Msle rt u ’Eeu’iE sg c+P »eenèaps c1:r EmpdeyLfosesé raCafocP a((xxxxxxxxxxxx(((xx xxsR242246111211eo3323e nt2sa22 iet Ou laaaxoaaoèr 6tnLuvv nvvoTruc .eeèee eE1Obé cciccmr 12 ou N Tmm.mmd2 ttarYgn «aanSmaa 01eocrrPrrgg1Aggto)cmdbeeEeedee5dm))L)) Leonéi lsunaceeeeos nendtdeieené’sssdoAtt,t arscd /resd+/HspuiD’ArnquuOs»aéc unlREADEtectaeNO+Lds4plaqplpcdàpéseéu’eea’oieEeoee’ lsuauu ottciluarsé pc snrl lgN eri cErpaunqstcae l /i P pifhae lsrSsaino uo/ m leerrroledlquel eaej emero«Auso It a1uort» rng osPt ics Luédpà deoeedétpe pt:oRdr s tso yduttsutle1.élr n eyX’ueoppLso ae telc leOpaef diemddeareeaEtéc ooerss5eo e«biu or ranoDa d0T te sàotg ue duyLansdac «rrec éeé ipesertEsuOatub um ata lnsdnrite .tp5ée rll enDéi s telettqp ’Dr ce LTesopelse/.p .éacpuai rptr e tfino ox/rouEL ls p s Yoebuebapi na srp qteopnusatainqolsieuMsoiuuP.ndcnr. rell teut ar estvos tseytDLurn»sreseAeecéfipEt ep ufitaf e.oi eres xioieesp sCeido artttes usêecltq rey,dènau,et umr ônp»ot peur2leél irl etleasmeerneeeeate ae leteaNmoe ms t i, fi plt ebs ir gttftmctArtnee o rprartrsueoéeesttaaeeu sts ieru«rotus tqsrnni ascs ddqss dén seunuuccat in e ouustibsae’Shnnhdddouyai nee llerle2eeeeéeeneensitsct,,t’ v ra »ioecet cuon cGLcamt bo+troeolEuOpunri«dosi N, / e s s/u ECEereEelna» ru,txr érA1euxnTpiro »As /ne/+ o6Pl1L«lai .o n1àssOuf0u’ la 1er0séCc è SuxèGrcem n1o ceds uecedèUdAsceHpcrE»aAcOe dIeX re« n Ds/c/e oM nrAexitsrp2eeNo esneS rs »it uLatoEn« / s/ CeE uxrérA1euxnTpiro »A // 1L.1Of0le0èSGm seèUccEA
lplrllAPdmppcle’eeeeéorealiosssasoélncni su q eqdpsas trrunueiufdperot ,artet enlearn a.lececel sisndldrtsiLéen l e neiem,dlpesstte seésrle, lsl e ila e a mle ds dl bqesuteoseeidéoru g-xu n asf’csieb eaexstb iau ssosst u boeanorso siiomusdt/lpsiinnel ts/i delesues toosmem pe e é ré nnetbmsba eletstesadoé élu set etatdeiin e x sgstcmgne tl s .teccreeeem dh easaEasns édeeuia rr ntnfidtett rse imioot lnrdéq+seéeneanntepu otenOitfgsésefré aeusueees encNsss e.t e,ps nr,ss s n orsE oeeoelllrteeuoeerunnnes esssispAvqmuàaNd/rrttttt./ erun de ioHoonni a lu u’psô+aeprusispoeO nxtt laséirmietttlteaNév iei soppblo,r _Ee ianrloneieeé s,usisu snlsss’.x tppre teao, drae sureguecvpnss etvee aasuo i ereécgdnu mnen eeleàs’ i tos nur+ AF21a2p3n4pt5evree5 v l e e no.da-----Ber0aul u neOrVVDDPcso usu eseevucé éoéée xu lemdfiarrncc lriillneau fifiooeac tdnl.snNeeeuuessdé rr ergpp t5gn1 blplrllAPdmppcli1roseegleeeac2 r2utrrr(eûirmsu5t pnE0 ne’eeershààlC, c fée b caeo cehfia llnomcaaagmménlirnsesrroe u ot drealsde stu ti néredcsaBeérpioo a ei ruucaaesssasp p lso oisp-uc otb.éln!à uéeueix)BFuoec - pnr.irsi s F ade ouine q c ueq-c+e gdrpsonaihis tce lrrrt ue-nue oiufdAipreros. rt nJOé,Cmaaetd1rteaét enuleaaradnun at.le-actt Me celéu si.sP nredlNdarrntsdiiLrsdiéenlaul l eae n .eu ie m,dele l pe sstdt ee Mes lE /teé sr lG eDe, ls1/1l xr Ee ilai eMr a / ml e ds2s eAd lr 1vpVb qesu lt e osc ei eiPs’cd é o Rrgu ag-. xuo2u O n 6 la sT2f’. cseo 1iOEeb ea1oexNiTsn.tfb2sr YiSa0ud A0Ps1soosst mmuLE 5tboi eatanorso sa sièei romustdlpsiinnegl tsoemmbmil del esuestooesmem ennee el é ré nneteeeebsmsba ere,tttstesdoé élu set etatdeii e x sgstcmgn+2 eA .2tBl s O.cotemccuree12345eelm a -----hnN 2TPNRD eag2srluééeaaa4Easmgcccr nsocEl eeCeé7murrrréad 5p oellree,aeuitt3t aes r i rr sr e rce àd cntnrcmc éfii ldhe-tacit ea fitB tF1oàs eqrs1eu. cirurF1pm uiieelo iooeebtc l nucsspàmdraéqr a nsprneréeuhatinebieteararonn ne-nt epAsu ot. enJitfmagdséseafré aueuadsu e-ete s Menéc.sPss era.tde i,Circulation12p34(i1lps e al nr----cass,r 1 mAsMçDP 1 au npeé a dgclr o cracmrs eeqo n eT ,o uu2d ioee rreep e i,clalll1 t reer d m mlt 2lsraée eeoueDèa lstnirmtu oroerur Exennneeuems )pàsbrM. eè olàenernsssis esc l nAa sltaerr a4ttttt.pdtVsuspAvqmuàaNdee srd r ee dci m aeé uuePc xosn Reus ipeo2à Oeru n den 6c seio T.o tl 1odOEon1eonnN T.e2n YSi a 0APl134uEL 5u’ ps +aeprusisoeO nxtt lasérmiettlteNév iei soppbo,r Ee ianrloneieéPGdnmpmdaddrdrlsdedéad ’s,ééuasueoleveeeenetvuiosrauaoa aginlsereasm sss sdutdsnttn cillt’.xi c ecinéiar selrtissnhetoppreeafG ntdragles dfsédadieoenFuais,v éndtuasgerAueeo’z s ctnaIaecru sug suesiT c rsc ee Illgunlioansna MsA ;exa.lod uAnAl .vuelutp tenc,ls .l,niemdsuoatae cé Ctc rateptoreeCsvrs eoru vt emeiulleeu sUma paeesslaa uoeslsemsimxln st ee eeini feD sce osl emard tsrroéreréacgn e bs anupusE encçi«m duq crmoi olu sodinoiéee ano shuneun Taies lu’ldegnàoos stc aàsucdiies ecUn’pre s ntpsVe dudn em seh i etoees trBcM asémo:éee nm uièt ’ss cenuf ce ticd o aaanl.é easou ocAlunépeeiepe o’nsubuettInniamLndttosrnr.l éusnit élel rtro,Knttiret ,énuetL,al éi ipslm t e lccmfendrsàéo erSoteui e tdea ane éo éapl étnnssueesleEu’déte au ncnr leos rnidsncs sreé +epoDgohs éott daamiti’ e iPatio cc loction AdoolautOappcecsâgi otiorsnou uunslrpbreOcscaeé cieTtaulinusristééoueqca rhreta Utadpéunetsssmtoaerraésuieil odudéu eeseeeelA re uetelsrNinndeeéàessxsssssssrsdr,,:,u .Teel»deIelEtUe xrDir se rO vplciRs’c gauoPleo oinfNsrdommUtitasa eR rgAoemmbl Peennel EeeesrS,ttI LAER Circulation FITACUDE« T UsB’ aA lKlSoEnDPatioOgTeUAr T»IUDORP NU RAP ESILAER
+MONTAG//E p lan de +ONE // Hôpital_espace d’a+ttenMte// O1.2N0TèAmGeEbLpspmuoele aorr rn,dgm sscunoeuhleletr ets saldr.e. nu dqt i urmedec’loa tsdesoumsnlueetr nfiesxtr e éfi +leAxa.+césBO oo OdamuNm++leaNuONonEO5pNs67 gMtEbEe oaEr riN 2 oslRsP,C5 Ci0tReRsuaLéeOAre ltT1e ieTn,e2Uda5OrdtnR d’ut-TEu eedBYux0nP.sssP+cmdreDu,F5u, 0Ee oFoaesn O uo0eeFtr5intpn r.nu a1iitNeo1nl amtarra. empr2-ua 41cE l230eA sal1l.uv eua5J 1+ ppa t àen1 ds6réladDa12345671 aa6irav .,ulre1rPPPmC5R5T1RDDÉMp ’ sdcé,ccillll.chooiigi0aaaaoaani Mnmmgreuntcqée0qqqqummoi mvld1 smuuuuuseuadd2èère -seeeetsuofieeiextttlee sss rrellmnu0 gndeebeeddl ss,a,dddcestoMe’ 1iic 2é 2iiaaac eee arnnd.0ma2eg,mmop uvtte0mbcm, séénuée0m p0èèao2 rrbesx.tocn0amiittraaieeuost0rr. sutmPaieep.lor quuix, lsspi0 lanxu1qrr aeesu 2 61sîe,u011ettt ta1im , en ccss10p0 gpmms euem0omra dsppmu 0r spds1ApnrxtA o eiil0svtar l,otliéu op0eilfot1anr5a sa 54vo cgmnlle0ee tdiek Telgsd 5 ex ni e,ect éeéhltse rl afsie re/ciei ueun/iunÉrsnd s, :dep tup M m il oedme,’aRuslledas ud/d,/tra12345 AE e-----. BPEBCMano+morniIoaesséuclrienlp’neolo aatrllela n rneleniegAxxxxxxxx((rsix(bLpspmfri1 xxssrxet l24224611e 1 s33en2merpusO i o22r tnCa aar adslcfr aaaavvtéevirieceeucsue/tboeleesshsiccxeceA ee / ed rpmmrarmne oa-so sc Uaarn cBaétotoirr crr.elidggr rlFlghélsca eeeo eee iNdgiru))n,s)tdDeeergm n laauli msen m r aEs-oicm nuAuXns.JsomaeEMned uàoepha clutesodtl+inl le-e trMr a "ematcta.vP ots eIaaac isd énlaialldlg rtac.oe m nevl nlp .eeu e Nn uoo é d o qp/ r ovDèD/éentr eE ssieaiMp u+drLds4plaqplpc tArna’CrumEmVreeoe’ lsuau uoodeuar p pr sn gNa erit rrm nqsc ol sco li Ppfaa e ’l lsoSsr o uomé éteia ua r lxqu yetee nemerE olAss v2rNpduortoe nn es t Ssce LespneeoueAdéotp noRdsL lou mod ttsu ntslr/n eyou ointso ae/llcteOpe lf d durtse/tlpc lo oen s5eoe e«btiA n.etor/rane d0T rt ésottdu y ddéurns acnsfirecee icpeseetsOaGtgsbpms a srshtxe .tp5rlereeenei sA tletqi ’r eLTe.troepl eé,tp.éfiIpeupre tAano xE ls Yoecua leax spepnustaaiqseusonutPncr. rélseur estvos Art Lr».sBeeeeéfipEo2teo taufc.o mls ioa ede asmCnod rVgt umêecltq ryrdna ,eCumeneouta pure irtletisereorneeateare ep-tsea B 1ms u ufi 1l.tFb1 ti bgo ttf ttctnueem erraorrrauoéne+aaieru estiuritus tq-rnn oscAsls dssé. sJuuuaiccatdOie estiate’suuhnnhddoyadi eé "l- e2eeeéeenMsi et, .lP 1 a1N edr cilm/lada / dt 2 c m’ut E2 u eeeD0ExM1nss A,V5sP+cmdreDu/ - /e 2 oa esn O0 o e x EHet 1N3ntpS 6rAu LatN ôo l amt r/aemp/rpu cE e sa li+Euveuta p.patMàen sréollad aarar_ ,llrMe ’ céni g+etcéLép1ps2arnapmcta-aee ecoetr/l/uévoueuEgaa//lesécs,cieenc ou eantop.rpauCcp PcsspRmRrc cnameprlo àur e aar.oidéêhipeoé s èuu t ipbu eapztleàmt ca Angtsreoolpr eslaps eheRr.ae-sAnetste Ada n aeyt cb.Piétee:pPidreo TuOnpgglt Cs lvo .lrlnreee oe eVdenerile oleé a C eu ani è,i deéeuÉ1fsnllclfesl ruea seef énài dE ace’e xusbdc:esmfi dcer, r spap. ttrSesntp1CirculationhR l rn iooatoe( t eci ili efaleqFt tnSmr aoeutea,’islmqcl fuiisédvrtsrat c eueUxaumId iedc ,pa oohhrrraasieeo,A ii lnnaeeo+S monelàoue sstu3ee’lt s ugne mnnxéms ifld,snD’mlt s nO o unEeUda é ea das saébsssédàNt Eceetuiàthsco, éndtfiba oàé s iiSocu e virNneXopiml .tMnloil Ad aarnaulai em (itn eésoéoFaeni eL unrxsO,agune um,itt E. n c c epp l r1r sàitsadhrdotssNio6Btsli aanmeeetcéceelau eorll )aiaeTuedssssssér,et emAvnpue o /G oée/rssaiEd tnu1mr uorarrmsl.arééia2enl vneeesn0nslo o itlèt tsll .netemt ddéusegsseeeene.r,t Accueil Entrée Circulationx3 à x6 Accueil Entrée
// plan de +ONE // la plage // 1.20ème // /p/ lpalna nd ed e+ O+O/N/RNEan E/g// e //H m/c loeôanup tp pidtleaea/ A/++12345 AAFE21a2p3n4pt5ev. r Be-----5 v l e e no..la -----BBerPEBCM0aul u noneOOrlVVDDPdcoo usesrnioevacegué éoééée xuu clel_mdifinalrrnpcc naleollriillneo aa afifiooeaca trlldle.slannNNeee uuessrenél enierr erggpp trsg51 bgiri 1sroseeglsreet leac2 re s2ueerrr(eûerrpmsu5t peusEE0 irr shààltCCa rc fé ee r b cadso lc frcehefiaa allnCaotmécaaaegmnliirrisesecrbecs uuotta dsde sets thsii xnéereedcsrABeérp eeo a edei truprucaaerprp lne si oaisp--u osetb.!c à éeuri x)cBBéFFuoeot r - oiapcr.ir.els ds lFF+ lh-aélsd ao oiiene eBgduru-ccs /ee.errF nnlahhtiioee m purr/ ee--otOrm AAuns . .i JJseeCmmaaerdd 1 àoa-a a1 cuuAaaoddl.nr l-J-ett arMMN ééadt..ivPPaeararac.ucedd iidliiallaallg aa-c2 o Muu l l Ee/e e. NP é /1aM o d papPdlb/ G0i r BDDlèD/l1n1a’EeE MMp / /e2d AAuéeoèrVoV /o t PP x ’ o RmRH r i / 22 OuO a 6t6 s T T/x.. y 1e 1OOEEt v112NNpTT ..22YYSSMtôér00 eAPAPeb11ELE1L5n5et i p/ p/ermo pnni rrinBTP2leéiTeHtoeets p5rGalxOt,aiIuo0A234p e bSt . DulqueIiExl IA_MCpTàLrmaio Eious/lSSslna t DlAs1 t,l deud Vèé/aeb énebsev sr c1é l2eue++2o U LAAocupu..2 ppBB e OOitp2ecoorr1 mm2èuuoceas 12345bm:llnaa nà-----i2nnNN 2esTPNRDs gg2,rcluéé eeaaf24uxmgcoccrr l5ocEEl eesCCeép.r 7murr rmremaai 5p osellérre,aett3tt 1 es x r aeii r s 2ee rcesàd 1cetrrcmc téi elhe--t8a.ci ca fiBB uaFF11oàamseq11.u.. cnrerurFF11rp ui eeloo iieebcc9 cuuccsspàmma,0rr a npsrnnrue hhat iii ibeetec rarr 2o nee--Lnl bAA0so ..èJJ1 mmaas5ddeyaa/uu2aaddl e0--nttci mMMc1éée.. PP6l1rraa1dr dd iic12p34(ii1 llm e aall t----caadira 1mAMçDP 1p auu peé a dgclr cb2racm eeqoe neecT , uu2d i rm re1ep i, ccla1 t 5ree d m ml 2lsraéie M DDèa lstoànirmtnu orolr EExeetuem )pàsbrMM. e è oleoàenrrn esc l niAAa sltae a4pdtVVsu sueee CATPosrde r ee dci m aeé uuePPcm xxx((xosn xsl RReyus211 3e ipléo22à OO lre Ln ooa n 66A’c na se nov TT u .. tple x ADL+ E11odOObEE Tenc112e uNnNN TTV3..mdeqp22 YYgSSSae00coRmebAAPPr c11Agti34)EELLIe55uraLa) E noGa i oseTeemdguuseOorin EOuls n:èenoz’ . Let 2teFsoNni lcr rnu8AeepsIeeIxg ro0L6c ll3I a:euu /:xpR Ern h/c1té1e2dàpéseéPGdnmpmdaddrdrlsdedéadapmcta or ’ eoEééTcra1euo/u ottceoleveeeenetvuvou2t0oMora aoeé asagco/irlereensa csm sss u mdurtpaudbnt1tatn re cip0RlltÉ0ir.h c eccssinéiarcrnselrrainissnhu etlroiepe rafG e olen2tidragxlsdclétê dfsaéejd dé ieseun5uaisdiaovéniEtr tuasge earAtuelàegeo 2’coz ms ictnnsaarucruég à ds0uesiesl c n ehesc e Itlli.racnlioandstnsa M0sA y;u xa .lAoe1d éu ae nArl .brlueluet ippteeLgPc, l .lè,nllieemgdgluoatae cémi lmtc ratape leoearenE /éopeeCoesrs sneroru vt emeiuulleeu rsm pa e /esolDaa au msèeslsem sdeimàx 1ln steefL earue idmn f rean ssce o fséléné mad c tsreroéErurBRDPau.nu e bs :Maauptfi s lenccç/im dsuéeq acprloinD nàoelusn so1csdeienhoiéo/eeaulp o ées hcuntoeuaDSRÀelaissa liu .’ edganooastc aàtrstucdOii eaufitsn o eclinrposnr le qs ntpv Vfeub dutqdniué7pei mnv sirehr eeeqeOt uetracM iptasctaémo:séeopaele i miètir luusupsU.ces enuf coe tticit iipo xm,aailnl.é teanesdeocyàooclenéDp eeiepeus otaeeUp’nsbue8 tIpnigna ,mL nmnttéfiosr nr.Ssl éuserilten ée l rtrpo,t nèet’oltreidt f,éuauetLal Eéeii pess H4mé t i: Le lccrefeda,s,àéécèo er nustei e:S tsdtre Ntanee r éo éillaépl éttlhnn 2,9rs ls tdeasleaeum’Eeddàéé aeete a3uS ncneelr loos rituidsenmssEere é0 po ohis pénotnute dAaamdtssirn ’5 e i mcc Toction eAdooléoaupotappcse0bcsâei e:6Lt ttto snou uunagslkperbureurocscae ec,itp.Taiulixanus raisst60 l r éqousecaqr drhrtgi a+tarpddé ssetsismsi o1eourraésuuibeiilcktvEodnudcédéu eeseeeeee.lre neutelllstim4enedeeeeéàdnessssxssssssssmgoOret,,:,, S0Circulationtr3axiNen5/t0E/eapPdlbs’ ,/e1uéeoo/ x H r i/ues/etv t5ôér 2bne2 i1pprmoBTP2nnTe0iHrile5riltxOoeaetsiIop0apSt,uque xlbI . uiluSiSsn 1 _rmaéselsm3n4pl5td6rt7betAapqdé8pppd91L2t,U eaaaèbpeee /é/e/e//otpluet/llle/0eir uu2saaaaa///s/s/ sa//bp:iv c r r uees s / psx esssnqnntpF/pcçrrmMoxpsies MlDélr E ieGàseeeocuccvT eaeMr Pèçilérus1rxeuoesneéanaahhhiaeneegussirrpslss.eiaessetaaedtacufiuueeei.mn s tnes.oa,ltser:t ut9trlco.lr rnxxxr r e rc steetat iee i exlreerryruld ,.ddesse rrceLree ,an a e p drs pe posoeer1sipls c àsno ustylaeel lAe uuu bu eM oeol. cu 4x pe c llclrissstnstee euale(shld sa e ’lsapa F eréarels sr elseten uisl oerlrc altaiei tnn t et etoslseirpcsna u sdgomsnrtcéMpso e s hetrlt/edai palmseanopdsithe clp reaobè/ a amsej1eesqstr,eoeetéotc uuy reessnqt /a i aum eussoàoe2rnupMxslesn4routpCATPficus ae s tus e)os.seeaardc oulaelosixp t ie.eysseu t ilaeotueednoesre L uoAlésaétsseat spiADL+uncxm éesdanTrodunl re bVss qéq h x rt e ieu oned’neronRnbaasio cbipum eg Ise xuu’ad eaec.luiE danoaoepGei ess .escsmusoleeuTc e omji s eddsToogn surs!a uasd txdOoFsns ra taa ol,Eu2tOoPatioo esrfiaasuele re ro:cdèinnntot xemeetllz nnouse r eàle.iciLessn e2 tq pn F abnostNnnpirs notmr e run4uéodfi uvo 8’A oe. t plllllsItunl)eeeeeeeeseee iesgue ersl l0Lc r leenescssssssssssI rrt,ae:eu :xeReI Exo ic1tcél12t u / ETpcru20rMnh/ome0or É0oan1uto xcsdrEbr1tr2.mieei2tt0os5il enl 0enicdrrsièm e poPBRD/Mm/ruluéenaaDSRÀ a .OlHsn/vqtu iànecsO/eaipselupUiôxmil ceteaUp,éS n p tèofH :iLrcnS: trei 2rteaEte3eeiE0anus5 T0:6t lk epTx 60g i1ckvE./2m4mgo/S 0t31axn5.Circulationt10es0,0ème4, 5 et 736 // Mise Patioen situation // Hôpital // 1.100ème
+PROCESSUS DE MONTAGE
Le prototype s’est monté suivant des
étapes de fabrication définies au
6 préalable :
1// Remettre à la taille adaptée les
planches de cartons et de bois, à la
scie à panneaux. (Fiche matériau 1B)
2// Couper les morceaux de mousse,
au couteau électrique, les coller pour
recomposer les formes, à la colle
néoprène. Coudre les housses. (Fiches
matériaux 1M et M1/2)
// axonométrie de +ONE // utilisation à la plage // 1.20ème // toile de catamaran 1b leet u2e //3n/é/ ceTsasialleirre sl.e (sF icthaes smeaatuéxr iaauu Tx2 àc o4t)es 2 // Mise en s3ituation // la plage // 1.100ème
// axonométrie de +ONE // utilisation à la plage // 1.20ème 4p/e/ rçMaegtetrse dlee sla tipgleasq ufiel edtéee bso idsa, nesn filleesr // toile de catamaran bleue // // Mise en situation // la plage // 1.100ème
les premiers tasseaux.
5// Placer les mousses entre les
tasseaux et les mousses acoustiques
derrière.
6// Enfiler une plaque de carton et
1 2 rtaespsreenadurxe, pàu ils’é lteasp me o4u sesne sm. ettant les
7// Mettre la dernière plaque de bois,
boulonner pour serrer les tiges filetées
et visser les planches de bois dans les
tAausxs Gearaunx.d s Ateliers, nous nous sommes 4, 5 et 6
aperçus de la nécessité d’ajouter un
plancher sous les tasseaux du sol pour
que les tranches de carton se repose
3 4 5 déetaspseuss ,: nous rajoutons donc des
8// Découper une encoche dans les
plaques de cartons pour passer une
planche sous les tasseaux. Fixer le
plancher aux tasseaux de sols avec
des vis.
9// Fixer les 4 roulettes.
10// Mettre le prototype sur le sol.
6 7,8,9 10 Le prototype est opérationnel ! 7
DEM AV _ inVENTions Rendu final
PROJET Mercredi 15/12/15
Encadrants: Céline Vaillant
Paul Vincent Juliette Rauscher
Le MURoir à vent
Estelle Morle Laszlo Nef
poétique & révélateur
Emmanuel Ritz Taycir Chaouechi
MURoir à vent mobilier urbain: entre deux voies de train
Plan de gare, Echelle 1:200 Coupe de gare, Echelle 1:200
Le mur placé dans une gare architecture l’attente.
Le miroir transporte le piéton et sa réflexion .
Lors d’un coup de vent, il vole en éclats, dévoilant
l’autre côté du mur, permettant de voir au-dela de
son individualité.
Elevation de gare, Echelle 1:100
MURoir à vent mobilier urbain: ici le long d’une promenade
Ici le projet s’installe entre ville et nature, pour lier par ses reflets des ambiances calmes et dynamiques.
Les pales prennent les dimensions organique d’un feuillage, que le vent vient perturber.
La vibration engendrée nous amène à mettre en relation la végétation avec nous-même.
DEM AV _ inVENTions Le socle, enterré est dissimRuelné ddaun sfi len saoll et remblayé de terre. Il permet aux plantes (glycine violette, lierre,
PROTOTYPE saule romarin pMlanetréc praer dcei p1é5e/,.1..2) d/e1 5se développer en symbiose avec notre dispositif.
Encadrants: Céline Vaillant Sa fondation confère à l’ensemble du MURoir une stabilité au renversement et aux vibrations.
Paul Vincent Juliette Rauscher Le son alors produit par les pales en mouvement devient le murmure du vent.
Le MURoir à vent
Estelle Morle Laszlo Nef
poétique & révélateur
Emmanuel Ritz Taycir Chaouechi
DEM AV _ inVENTions Rendu final
Encadrants: Céline Vaillant PROJET Mercredi 15/12/15
PEEsmatuemll Vlaein nMuceeolnr lRteitz JTualyiectirt eCL aRhsaazoulousc eNhceehrfi Lpeo éMtiUquReo i&r àr évveénltateur
MURoir à vent mobilier urbain: entre deux voies de train
Plan de gare, Echelle 1:200 Coupe de gare, Echelle 1:200 Elevation, Echelle 1:20
Le mur placé dans une gare architecture l’attente.
Un prototype en détails LoLrse dm’uirno ciro turpan dsep voertnet ,l eil pvioélteo enn e ét cslaa trsé,fl deéxvioonil a. nt
l’autre côté du mur, permettant de voir au-dela de
son individualité.
MURoir à vent mobilier urbain: ici sur une place
Elevation de gare, Echelle 1:100
MURoir à vent mobilier urbain: ici le long d’une promenade
Ici le projet s’installe entre ville et nature, pour lier par ses reflets des ambiances calmes et dynamiques.
Les pales prennent les dimensions organique d’un feuillage, que le vent vient perturber.
La vibration engendrée nous amène à mettre en relation la végétation avec nous-même.
Le socle, enterré est dissimulé dans le sol et remblayé de terre. Il permet aux plantes (glycine violette, lierre,
- VOIR LE VENT // Comment mobiliser le vent comme premiSaè fsoanudlrea triooemn caorinn f èprlaern àt éle’e pnasre cmsepbélee d,s.u.. )M dUeo Rseo idr éuuvneelo sptrapbeirlc ietén asuyem rebnivoes ers aepvmeecn nto oettr ea udxius vpiobsriatrtifi.on s.aménager
Le son alors produit par les pales en mouvement devient le murmure du vent.
un espace ?
Cette thématique aborde les potentialités sensuelles du vent dans une double approche contemplative et fonction-
nelle. Bien qu’il ne se voit pas, le vent est un élément naturel fort qui détermine les capacités d’un lieu à générer diffé-
rentes ambiaDncEesM. L aA rVec h_e ircnhVe EmNenTéeio pnousr « montrer le vent » consiste à l’exploiter dans la conception d’un espace Rendu final
au service deE nlac a c Pdrlraéana ndtteis om:Bnobo iudlileo’arn u m&rb ebaninitarCentéocliisenees Vmaialliasn tégalement en réponse à des fonFctioAns d’ÇusageAs. DES Mercredi 15/12/15
Elevation, Echelle 1:20
Le programmPea urel Vteinncue netst celuiJ udleie tltae cRraéuasctihoenr d’un paravent ondoyant baptisé « MURoir » dont la génération de reflets
Le MURoir à vent
éphémères bErissteel lle’a Mttoernlete du spectaLteasuzrl.o Nef MURoir à vent mobilier urbain: ici sur une place
poétique & révélateur
Emmanuel Ritz Taycir Chaouechi
Différentes pistes de lecture pour le MURoir
Trois photomontages mettant en situation
le MURoir comme façade
MURoir créateur de façade, Plan de mobilier urbain
chef d’orchestre des Au MUCEM, à l’intérieur les ombres
Bâtiments en double peau,
lumières et des ombres portées donnent tout un caractère
vertus énergétiques et ambiantales au projet.
Le vent fait enPtarlee r« clalo ufas»çade en vibra- Concert Hall de Jean Nouvel, cube
Guide en haut, pointe en bas Façade protégeant du soleil Le MURoir comme brise-soleil donne
tion et évolue, souple aux s’élevant dans le paysage, avec les angles
des ombres vivantes et variables au
caprices du temps. Reflets vivants autour du bâtiment clairs accélérant le vent.
Qualifiant le bâtiment et même un Rappel des Moucharabieh Reflet des pales en mouvement sur l’eau,
créant un univers poétique et ludique. Dans un bureau, les pales brouillent
quartier, une ville, à l’image de la tour l’extérieur et le mêlent à l’intérieur,
Des plaquettes de métal trouées Agbar à Barcelone Photo montage sur la place Stanislas à Nancy Elevation, Echelle 1:2r0endant la limite floue.
permettent de minimiser les frottements
en métal contre métal
Vibration de facade en double peau
Photo montage sur la place Stanislas à Nancy Elevation, Echelle 1:20
Pale «laser»
Guide en haut, pointe en bas
Le MURoir au MUCEM à Marseille par Rudy Ricciotti, ombre organique & mouvante
Prototype echelle 1:5
Construction du prototype
Le MURoir sur le cube bleu de Jean Nouvel à Copenhague, double peau brise-soleil et caractérisant l’espace Depuis l’intérieur d’un bureau, ombre
Détails de construction de la facade en double peau
Scie à panneaux Défonceuse
Plan de l’attache, Echelle 1:2
Procédé de pliage de pales Socle porteur
7
Coupe de l’attache, Echelle 1:2
Plan coupe et élévation globale de la facade, Echelle 1:10
L’équipe ALMQUIST Henrik - LE MUR ERPaÉIsA VELRITUSEUAX TION 5 DEM AV
SmartWall DIDIER Victor MORLE Estelle
GUERRY Diégo RITZ Emmanuel
16/12/15 ZHANG Chi // Comment le mur épais peut-il faire architecture ? VINCENT Paul
Dépôt Brevet
A partir d’un matériau et d’un produit, la ‘brique hauteur d’étage’ en terre cuite de Terreal,
Notice de montage
ENSAL-TERREAL le projet explore les potentialités d’un élément de mur préfabriqué intégrant dans son
épaisseur et sa matière différentes fonctions techniques et d’usage, pensé et dévelop-
Décembre 2015
pé au service de l’architecture contemporaine en collaboration avec un industriel. Cette
réflexion prend le coEntreN-piedJ dEe laU dynXamique actuelle d’éclatement de l’enveloppe en
L’équipe ALMQUIST Henrik 1 DEM AV
SmartWall DIDIER Victor multiples couches, séparant les fonctions en autant d’éléments isolés complexifianMOtR LEl aEste lle
GUERRY Diégo RITZ Emmanuel
16/12/15 ZHANG Chi mise en oeuvre, le dessin et les usages. VINCENT Paul
Problématiques Thermique & ventilation
Mur épais multicouche Le SmartWall tente de dépasser les exigences des normes
environnementales grâce à une utilisation intelligente des
En opposition au mur monolythe, le mur multicouche propose principes environnementaux en s’adaptant à de multiples
une enveloppe composée de plusieurs épaisseurs, remplissant programmes.
chacune au minimum une fonction précise.
SUD NORD Le puits canadien relié au mur multicouches, garantit donc un
Notre réflexion prend à contre pied la dynamique actuelle confort thermique peu coûteux toute l’année. L’air circule dans
d’éclatement de l’enveloppe en multiples couches, séparant les différentes alvéoles selon l’orientation et la saison.
fonctions en autant d’éléments isolés complexifiant la mise en
œuvre, le dessin et les usages. Comme on peut le voir sur le graphique ci-dessous le
renouvellement de l’air représente en moyenne 20 % des
Ici bon nombre d’éléments nécessaire au bâtiment sont déperditions thermiques sur un logement neuf . En arrivant à
regroupés en un seul élément prêt à être mis en œuvre. préchauffer naturellement l’air réinjecté dans le logement, le
SmartWall permet d’agir économiquement sur la température
Notre objectif est de revaloriser le mur épais grâce à une intérieure du logement.
utilisation intelligente des différentes épaisseurs.
1. Structure en trois parties 2. Tasseau central 3. Dalle 4. Double carneau 5. Mur Sud 6. Mur Nord
Mur actif
Le principe innovant est de concevoir une enveloppe active Ponts thermiques 5%
Ppleosr hatelvuéoseo,l emtso codoumlamsbel es udept poorurietsn tpéopeu re ntrr afoiotnecrt iottonuo dteus tsloeylse fiol pnuctitliioseansn t Toiture 30% Sols 7%
nécessaires aux locaux intérieurs d’un bâtiment.
L’idée de regrouper plusieurs fonctionnements dans cet élément Vitres 13%
industriel multicouche en terre cuite d’une hauteur d’étage s’est
construite dans une démarche de recherche d’une architecture
vertueuse et durable.
Le mur actif que nous cherchons à développer regroupe
les fonctions de ventilation, de chauffage, de structure et
d’isolation, s’adaptant aux orientations et aux saisons pour un RÉALISATION Murs 25% Air renouvelé20%
Lc’éoqnufiopert intérieuArL MpQeUuI SéTn Heerngriikvore. 5 DEM AV
SmartWall DIDIER Victor MORLE Estelle
GUERRY Diégo RITZ Emmanuel
16/12/15 ZHANG Chi VINCENT Paul
Puits canadien
Orientations & saisons
NLoe mtuirc éepa is dquee no ums proopnosotnas trgavaeille avec les orientations
et les saisons. Le principe d’une architecture vertueuse et Puits canadien : Installation de ventilation naturelle qui consiste
durable, proposant des façades en fonction de la course du à faire passer, avant qu’il ne pénètre dans la maison, une
soleil. partie de l’air neuf de renouvellement par des tuyaux enterrés
dans le sol, à une profondeur de l’ordre de 1 à 2 mètres.
En hiver, le sol à cette profondeur est plus chaud que la
température extérieure : l’air froid est donc préchauffé lors de
son passage dans les tuyaux.
Matériau et produit Avec ce principe, l’air aspiré par le système de ventilation ne
sera pas prélevé directement de l’extérieur (via les bouches
d’aération des fenêtres), d’où une économie de chauffage.
La briquTee sttesr rréea cluisitées aalvveéco lCééed, dri’cukn eC hhaaiugteneura du ’(éftuamgieg ècnoens etitt ue En été, le sol est à l’inverse plus froid que la température
notre maatnéérmiaoum dèet rbea)se pour innover le mur épais actif. Le extérieure. Le puits va donc utiliser la fraîcheur relative du sol
partenariat avec l’industriel Terreal nous permet de tester pour tempérer l’air entrant dans le logement.
différenDteésb cito nsofirgtuier adti’oanirs :e 0t ,u2t5ilimsa/tsio snosi td 9u0 mma3té/rhi a=u xR édseu lbtaatsse a :u
15cm ded epsosurtse dure /n o7sc mat tde’nistoelsa.tion / 7cm parement extérieur.
Température d’entrée (sèche cheuveux) = 31,5 oC
La thémSaotirqtuiee fldeux mibuler é=p a2i8s poCrend son sens aujourd’hui dans
une démSaorrcthiee rienngoisvtaren t=e à2 1p,a5r toiCr de cet élément en terre cuite
: construire une architecture contemporaine et innover avec un
matériau très ancien.
Fabrication LS1’m6éq/a1urit2pW/e1a5ll ADGZHLIUDMAEIENQRRRGU YVI SCiDcThti oéiHrgeon rik CONTEXTUALISER 4 DMRVIEITONMZCR ELAEmENV mETs atPenalulueell
1. 1S.truLcetu mreo deunle t droei sS mpaarrttWieasll est e2x. trTuadsése, daeu ncoeunvterlalels grilles pour les 3. Dalle 4. Double carneau 5. Mur Sud 6. Mur Nord
étriers sont nécessaires, mais le principe reste le même, le porteur SUD Coupe au sud
et le parement sont extrudés en une seule pièce pour que les deux
Phopatrotiess c ordresupo npdenrt opatrfoaittemyenpt.e

Références
5. Pour les modules Nord les tuyaux de chauffage SWmaalrlt
La préfabrication lourde Matériau et produit Construire en fonction du soleil en épiEngnlevse sloontp gpliseséss daacntsi vlees as lvaéodleas ptées au contexte
correspondantes.
3. L’isolant est rajouté entre les 4. Réalisation des carottagFaecasde s et coupseV auil lSaud, 1:50 aMppaagratesimnse +nts Bureau Duplex
deux parties de terre cuite « ventilation » et
Useésnct htneaémgcepes ssd adeie r3 e àa v7ahn t maintenant séparées. «mq uoread cucceleousrx dN sp ocorhudar) ulEefnfsa mcghêeam î»ne a( stgeuerm sl.pessN ORD 6. Cde’e sbto suecuhloenmse qnut em la’oinnt epneaunt tr eetm applirrè lse sla a plvoésoel es Lvaa tmearrient eenni rs élecsh ant 7.Emnafinnc, hoonn sin pstraélalela lebsle ment
cuisson. concernées avec la Terre. Sa composition doit tuyaux en place. réalisés en traitant
être étudiée pour qu’elle soit assez fluide et l’étanchéité à l’air.
qu’elle ne se bloque pas à mi-hauteur puis
oc qu’elle ne se rétracte pas trop au séchage.
PréfabTaerniséctsma rotéimaoèlnitsr éelso) auvredce C éednr icbko Cishaigneau (fumigène et EMI France Paris , Renzo Piano Building Workshop , 2005 EMI France Paris , Renzo Piano Building Workshop, 2005
temps
Débit sortie d’air : 0,25m/s soit 90m3/h = Résultats au Façade Square Mozart Paris, ingénieur : Jean Prouvé, 1953
2. LdTeaems spBuésr ridaqetuu nreeo spd a’aettnsetsnreéteers a.(s è3ch6eh c haeuuv feouxu)r .= L 3a1 ,t5e omCpérature augmentera On brise la
pSorrotige rfleexssibivlee =m 2e8n to Cjusqu’à 960°C à son maximum, avant de gorge retenant le
dSoirmtiein rueegris tlree n=t e2m1,e5 noCt pour éviter d’abîmer le module. parement avec le
porteur.
Fabrication Facades au NordV, i1ll:5a0 aMppaagratesimnse +nts Bureau Duplex Facades interieNuroesr, d1:50 Sud
1.MLe modoule dne SmtaratWallg est eextrudé, de nouvelles grilles pour les Typologies de Modules
éepttar lireeti repss as coroenrmtr neeésnpct eossonsdnatei renexts tp,r maudraféiass i tleeen mp uerninnetc. ispeeu lere pstieè clee pmoêumr eq, ulee pleosr tdeeuurx VolumeTexture Mur végétalViitsréé Ouvrant Porte
Béton préfabriqué Logements collectifs Saint-Denis, Techtone, 2008 Tucson Mountain House, Rick Joy, 2004 Armadillo Box, Équipe solaar décathlon Rhône-Alpes, 2010 Mur chauffant
8 5.Pour les modules Nord les tuyaux de chauffage
en épingles sont glissés dans les alvéoles
correspondantes.
3. L’isolant est rajouté entre les 4. Réalisation des carottages
deux parties de terre cuite « ventilation » et
Useésnct htneaémgcepes ssd adeie r3 e àa v7ahn t maintenant séparées. «mq uoread cucceleousrx dN sp ocorhudar) ulEefnfsa mcghêeam î»ne a( stgeuerm sl.pess 6.Cde’e sbto suecuhloenmse qnut em la’oinnt epneaunt tr eetm applirrè lse sla a plvoésoel es Lvaa tmearrient eenni rs élecsh ant 7.Emnafinnc, hoonn sin pstraélalela lebsle ment
cuisson. concernées avec la Terre. Sa composition doit tuyaux en place. réalisés en traitant 1:50
Piséo cpréfabriqué CFA Nivillier, Techtone, 2000 Centre culturel Tjiêqqbtuura’’eee ollélleeut u nndNeeié osseeeu pbrméolotéurqraa ucqe,tu e R’p epPallaesB s àVW sto rmoiot,p i -a1l hasua9sueum 9tzseé 8fluecruh isapdgueie se. t [eMxtéurrie utrr]ombe lD’éetahnlcihnégiteé nà, lN’auir.nc architect , 2014 Façade ventilée céramique
temps
2.La Brique passera 36h au four. La température augmentera On brise la
progressivement jusqu’à 960°C à son maximum, avant de gorge retenant le
diminuer lentement pour éviter d’abîmer le module. parement avec le
porteur.
Montage
ENSAL DEM AV 2015
3 | CHARPENTE Frédérique LEZAIS ENSEIGNANTS
Leticia POSE Paul VINCENT
Fabio CEVRERO Estelle MORLE
Yannis NEUBURGER Emmanuel RITZ
- La TUILE VEGETaLIsEE
// Comment rénover la tuile terre cuite au service d’une architecture contem-
Dépôt Brevet poraine apte à répondre aux problématiques urbaines actuelles ?
ENSAL DEM AV 2015
ENSAL-TERREAL
Cette problématique est née des limites posées aux interventions contemporaines dans les
6 | PROTOTYPE Frédérique LEZAIS ENSEIGNANTS
Décembre 2015 contextes urbains très contraints des sites historiques protégés aLetuici a PtOitSrEe du Ppaual VtINrCiEmNToine mon-
dial (UNESCO). La prescription incontournable de l’emploi de tuileFsab iod CaEVnRERsO les Ezstoellne MeORsLE protégées
Yannis NEUBURGER Emmanuel RITZ
cristallise des conflits insolubles entre défenseurs du patrimoine et architectes contemporains.
Bien qu’étant un produit hérité du passé n’ayant pas connu d’évolution majeure depuis le siècle
dernier, la tuile de terreEN ScALu DEiMt eAV 2s01’5impose aux concepteurs et aux paysages en limitant la liberté des
1 | PROBLÉMATIQUE ET RÉFÉRrEéNpCEoSnses archFirétdeériqcue LtEuZAISralEeNSEsIGN.A NTS
Leticia POSE Paul VINCENT
Fabio CEVRERO Estelle MORLE
Yannis NEUBURGER Emmanuel RITZ
Au delà du contexte patrimonial, cette réflexion embrasse d’autres préoccupations plus larges
de qualité environnementale des toitures à pans en zones urbaines denses où la végétalisation
PROBLÉMATIQUE
apporte une réponse aux problématiques d’îlots de chaleur et de gestion des eaux pluviales.
ENSAL DEM AV 2015
5 | DÉTAILS DU CATALOGUE CONSTRUCTIF Frédérique LEZAIS ENSEIGNANTS
Leticia POSE Paul VINCENT
PATRIMOINE HISTORIQUE CONTRASTE PERTE DE LA TUILE FYaabninoiP sC NEHVEUROEBRTUOROG EDR E YEEamstnemllnaen MiusOe lR RL INETZEUBURGER
MODELISATION DU PROTOTYPE PROTOTYPE RÉEL
TUILE VITRÉE
CHARPENTE
GESTION DES EAUX
TOITURE
ENSAL DEM AV 2015
CONTEMPORAINE
6 | PROTOTYPE Frédérique LEZAIS ÀE NGSERIGANANNDTSE ÉCHELLE
Leticia POSE Paul VINCENT
MOUSSE Fabio CEVRERO Estelle MORLE
ÉCHELLE 1:10
ÎLOT DE CHALEUR Yannis NEUBURGER Emmanuel RITZ
SCHÉMA DE PRINCIPE
PERSPECTIVE EXPLOSION ÉCHELLE 1:2 ÉCHELLE 1
RÉFÉRENCES
PHOTO DE Leticia POSE TUILE MOUCHARABIEH PHOTO DE Fabio CEVRERO TUILE PHOTOVOLTAÏQUE PHOTO DE Fabio CEVRERO
GABARIT POUR LA FERME ET FIXATION DES GOUSSETS MONTAGE DE FERME CHARPENTE ET OMÉGAS
LA CHARPENTE SE COMPOSE DE TROIS FERMES. CHAQUE FERME EST FIXÉE PAR
TECHTONIQUES | HALL DE MARCHÉ TARARE DES GOUSSETS.
DEUX PANNES EN PARTIE BASSE PERMETTENT DE MAINTENIR LES FERMES ENTRE
ELLES ET DEUX CÂBLES LES CONTREVENTENT. DEUX AUTRES PANNES EN PARTIE
HAUTE MAINTENUES PAR DES ÉCHANTIGNOLES, PERMETTENT D’ACCUEILLIR LES
PLAN OMÉGAS.
DIÉBÉDO FRANCIS KÉRÉ | ÉCOLE PRIMAIRE ÉCHELLE 1:50 JOURDA ET PERRAUDIN | HALL DE MARCHÉ DIÉBÉDO FRANCIS KÉRÉ | ÉCOLE PRIMAIRE DES BÉCUHETLLÉE 1S:1 0ONT ÉTÉ AJOUTÉS AUX EXTREMITÉS DE CES OMÉGAS POUR SUPPORTER
LES TUILES. DES PLATS PERFORÉS FORMANT LA PARTIE BASSE DES CRAPAUDS Y
SONT ENSUITE VISSÉS.
ÉCHELLE 1:10 ÉCHELLE 1:2 ÉCHELLE 1
PHOTO DE Fabio CEVRERO
MODÉLISATION DU PROTOTYPE AVEC LES CÂBLES DE CONTREVENTEMENT CHARPPHEONTTOE DAEV YEaCn CnÂisB LNEE DUBE UCROGNETRREGVOENUTTETMIÈENRTES FAÎTAGES
MODELISATION DU PROTOTYPE PRMOTOTIYSPEE RÉ EEL N OEUVRE DE LA TUILE TYPE 1 TYPE 1 LE TOIT OFFRE LA POSSIBILITÉ D’AVOIR UN FAÎTAGE TRADITIONNEL
AVEC UNE TUILE DE RECOUVREMENT. IL EST AUSSI POSSIBLE D’AVOIR
CHARPENTE UN FAÎTAGE FORMANT UN BAC EN TERRE CUITE QUI RESTE DANS LA
CONTINUITÉ DES TUILES VÉGÉTALISÉES. CE BAC PERMET D’OBTENIR
UNE PLUS GRANDE ÉPAISSEUR DE SUBSTRAT POUR UNE MEILLEURE
LÉNAÏK NEE | MAQUETTE LICENCE ÉCOLE D'ARCHITECTURE DE MARNE LA VALLE JEAN PROUVÉ | GRANDE STRUCTURE NOMADE BLEUE TENUE DE SEDUM.
LES TUILES ONT ETÉ RECOMPOSÉES À L’ALEISD EAEU DX PEL TUVRIAOLIESS S P’ÉICÈOCULEESNT S DTAANSN LEDSA PRRODFILSÉ SE MNÉ TTAELLRIQRUEES
CUITE. DEUX PARTIES EN “L” ONT ETÉ COENL “LUÉ”, EJUSS QPUOE UDARNS A UVNOE GIROU LTTAIÈ RFEO. ERLLMESE T OGMÉBNENÉT R EANSLUEIT.E
DANS LES POTEAUX CREUX DE LA STRUCTURE.
A L’AVANT, UNE TROISIÈME PIÈCE EN PARTIE HAUTE PERMET L’EMBOITEMENT
TYPE 2 TYPE 2 AVEC LA TUILE INFÉRIEURE. ELLES SONT ESPACÉES CÔTE À CÔTE DE QUELQUES
RENZO PIANO | ACADEMY OF SCIENCES CENTIMÈTRES POUR PERMETTRE L’ÉCOULEMENT DE L’EAU ET L’ASSEMBLAGE DES
ÉLÉVATION LONGITUDINALE ÉLÉVATIONCR TARPAANUDSVS.ERSALE
ÉCHELLE 1:5O ÉCHELLE 1:50LORS DE LA POSE DES TUILES, LES 2 PARTIES DU CRAPAUDS SONT BOULONNÉS
ENTRES EUX POUR LE MAINTIENT DES TUILES SUR LA STRUCTURE.
UNE COUCHE DE GÉOTEXTILE EST PLACÉ À L’INTÉRIEUR DE LA TUILE POUR
ACCUEILLIR LES PLAQUES DE SEDUM.
JEAN PROUVÉ | IMPRIMERIE MAME TERUNOBU FUJIMORI | TANPOPO HOUSE TERUNOBU FUJIMORI | TANPOPO HOUSE TERUNOBU FUJIMORI | NIRA HOUSE
PHOTO DE Leticia POSE PHOTO DE Fabio CEVRERO PHOTO DE Bernadette FOREST PHOTO DE Fabio CEVRERO PHOTO DE Bernadette FOREST
GABARIT POUR LA FERME ET FIXATION DES GOUSSETS MONTAGE DE FERME MISE EN PLACE DES TUILES CHARPENTE ET OMÉGAS MISE EN PLACE DE GEOTEXTILE ET SEDUM
LA CHARPENTE SE COMPOSE DE TROIS FERMES. CHAQUE FERME EST FIXÉE PAR
DES GOUSSETS.
DEUX PANNES EN PARTIE BASSE PERMETTENT DE MAINTENIR LES FERMES ENTRE
ELLES ET DEUX CÂBLES LES CONTREVENTENT. DEUX AUTRES PANNES EN PARTIE
HAUTE MAINTENUES PAR DES ÉCHANTIGNOLES, PERMETTENT D’ACCUEILLIR LES
OMÉGAS.
DES BUTÉS ONT ÉTÉ AJOUTÉS AUX EXTREMITÉS DE CES OMÉGAS POUR SUPPORTER
LES TUILES. DES PLATS PERFORÉS FORMANT LA PARTIE BASSE DES CRAPAUDS Y
SONT ENSUITE VISSÉS.
PHOTO DE Fabio CEVRERO
MODÉLISATION DU PROTOTYPE AVEC LES CÂBLES DE CONTREVENTEMENT CHARPENTE AVEC CÂBLE DE CONTREVENTEMENT
PHOTO DE Fabio CEVRERO PHOTO DE Bernadette FOREST PHOTO DE Leticia POSE PHOTO DE Leticia POSE
MISE EN OEUVRE DE LA TUILE PARTIE BASSE DU CRAPAUD FIXÉ AU PROFILÉ OMÉGA ET CÂLE POUR LA TUILE FIXATION DES TUILES AVEC LA PARTIE HAUTE DU CRAPAUD JOINT ENTRE LES TUILES DÉTAIL
9
LES TUILES ONT ETÉ RECOMPOSÉES À L’AIDE DE TROIS PIÈCES STANDARDS EN TERRE
CUITE. DEUX PARTIES EN “L” ONT ETÉ COLLÉES POUR AVOIR LA FORME GÉNÉRALE.
A L’AVANT, UNE TROISIÈME PIÈCE EN PARTIE HAUTE PERMET L’EMBOITEMENT
AVEC LA TUILE INFÉRIEURE. ELLES SONT ESPACÉES CÔTE À CÔTE DE QUELQUES
CENTIMÈTRES POUR PERMETTRE L’ÉCOULEMENT DE L’EAU ET L’ASSEMBLAGE DES
CRAPAUDS.
LORS DE LA POSE DES TUILES, LES 2 PARTIES DU CRAPAUDS SONT BOULONNÉS
ENTRES EUX POUR LE MAINTIENT DES TUILES SUR LA STRUCTURE.
UNE COUCHE DE GÉOTEXTILE EST PLACÉ À L’INTÉRIEUR DE LA TUILE POUR
ACCUEILLIR LES PLAQUES DE SEDUM.
PHOTO DE Bernadette FOREST PHOTO DE Bernadette FOREST
MISE EN PLACE DES TUILES MISE EN PLACE DE GEOTEXTILE ET SEDUM
PHOTO DE Fabio CEVRERO PHOTO DE Bernadette FOREST PHOTO DE Leticia POSE PHOTO DE Leticia POSE
PARTIE BASSE DU CRAPAUD FIXÉ AU PROFILÉ OMÉGA ET CÂLE POUR LA TUILE FIXATION DES TUILES AVEC LA PARTIE HAUTE DU CRAPAUD JOINT ENTRE LES TUILES DÉTAIL
EXPOsITION DEs TRaVaUX // du 14 au 18 décembre 2015 à L’ensaL
Crédit photos Bernadette FOREST (ENSAL)
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