Table Of ContentLes Informations du jour des Rencontres Ufologiques
Mise à jour de la page d’OVNI GRENOBLE avec les comptes rendu des dernières Rencontres Ufologiques.
Sur le site, de nombreuses photos. Vous pouvez les copier si vous le souhaitez.
Compte rendu du 33e OVNI Grenoble
Le jeudi 4 avril 2013, vingt-sept personnes se sont retrouvées en notre habituel point de rendez-vous à St-Martin-
d’Hères pour assister à une conférence de François-Marie Périer au sujet du contact extraterrestre à travers l'Histoire.
François-Marie Périer, poète, voyageur, photographe et traducteur, est aussi un fidèle de nos rencontres. Prônant
l’ouverture – selon lui il ne faut mépriser aucune source ni aucun témoignage - il entra directement dans le vif du sujet
en proposant une relecture des représentations anciennes au travers des mythes, de l’architecture, du langage ou de
l’iconographie. Se basant sur un important diaporama - plus de 200 vues ! - qui nous promena aux quatre coins du
monde, l’orateur entendit démontrer qu’au-delà des différences de culture ou d’époque, certaines représentations, ne
trouvant pas d’interprétation orthodoxe concluante, pouvaient se référer à de possibles contacts extraterrestres.
L’exemple de la permanence du reptile – ou reptilien – dans l’iconographie ou les textes antiques fut, à cet égard,
avancé comme étant un éventuel élément de preuve. Il mit cependant l’accent sur la nécessité d’avoir une approche
plurielle tout en tenant compte qu’il n’y a sans doute pas d’explication unique.
François-Marie Périer développa ensuite l’idée selon laquelle ces représentations trouvent une résonance dans
certains récits contemporains, à commencer par ceux des contactés. Il évoqua aussi d’autres prolongements actuels
comme les cercles de culture, la théorie de la Terre creuse, les enlèvements ou encore les différentes « races »
extraterrestres.
La richesse de cette intervention fut telle qu’il ne nous fut pas toujours possible de tout retenir, M. Périer ayant
privilégié les exemples à foison. Sa vision et ses réflexions personnelles furent en conséquence un peu en retrait mais
il acceptera probablement de les développer à l’occasion d’une autre réunion…
Compte rendu du 34e OVNI Grenoble
Vingt-et-une personnes se rendirent au rendez-vous, aujourd’hui mensuel, d’OVNI Grenoble en ce jeudi 2 mai 2013
pour participer à un débat autour du film « SIRIUS » de l’ufologue Steven M. Greer, par ailleurs connu et respecté
pour son Disclosure project (1).
Le documentaire « Sirius » (2) est sorti le 22 avril 2013 aux États-unis mais il a rapidement été piraté et s’est retrouvé
sans attendre sur la toile. Il a beaucoup fait parler de lui parce qu’il présentait l’analyse d’Ata, qui est un petit squelette
de 15 centimètres de haut découvert en 2003 dans le désert d’Acatama au Chili par un certain Oscar Muñoz (3). Un
article sur cette étrange découverte parut d’ailleurs dans le journal La Estrella de Arica le 19 octobre 2003. Après
moult pérégrinations, la créature fut acquise par le Dr. Greer, probablement en 2009. Déjà, à l’époque, des analyses
avaient été menées qui conduisaient à la conclusion que le corps était probablement celui d’un humain (4). Mais
bon… Le battage médiatique entourant la sortie du film laissait entendre que les nouvelles conclusions seraient
possiblement autres… Seulement il n’en fut rien. Les différentes analyses (rayons X, lecture ADN) confirment que
nous sommes bel et bien en présence d’un spécimen humain. Il pourrait d’ailleurs s’agir soit d’un fœtus de 15
semaines avorté, soit d’une momie d'un enfant mort à un âge compris entre six et huit ans… Réjouissons-nous quand
même d’apprendre que ce n’était pas un canular ! D’accord, ça aurait pu être un alien, mais ça n’en est pas un, voilà.
Le documentaire « Sirius » ne se limite pas à l’analyse d’Ata. Il y est aussi question de spiritualité, Greer ayant inventé
une cinquième catégorie de rencontres rapprochées, le phénomène ovni se manifestant selon lui plus librement
auprès de personnes réunies en groupes de méditation. Il y est aussi question d’énergie libre. Greer veut nous
convaincre que les contacts ovni ont amené certains chercheurs à développer d’autres sources d’énergie et que l’État
réduit au silence ceux qui y travaillent. Ces accusations ne sont hélas pas étayées.
Le débat autour de Sirius passionna l’assistance, tout le monde ayant un avis sur ce documentaire qu’ils avaient, tout
ou en partie, vu. Il fut même carrément houleux lorsque je pris, seul, l’initiative de le critiquer, certains ne comprenant
pas ce que je pouvais bien trouver à redire. Je trouvai pesante l’autosuffisance chez Greer, l’homme étant présenté
comme un esprit supérieur qui a tout compris. J’eus un peu de mal à trouver les mots pour exprimer mon point de vue
et il me fut aussitôt asséné : « Qui es-tu pour critiquer le travail de Greer, toi qui n’a pas fait le millième de ce qu’il a
fait ! » Sans voix devant la phénoménale inanité de l’intervention, la flèche ayant de plus été décochée par une
personne habituellement sensée, et que je respecte, je ne trouvai rien à répondre sur le coup et glissai à mon tour
dans un affrontement verbal oiseux. Je regrette de ne pas avoir trouvé les bons arguments à cette occasion, mais je
ne regrette pas d’avoir critiqué ce film, d’autres ufologues l’ayant depuis largement fait (5). Jean-Pierre Petit, eh oui,
lui aussi, trouve que « dans ce film vous verrez passer des masses de séquences, de manière furtive. Certains
apparaissent à l'écran pendant moins d'une seconde. Mais tout est fait pour frapper [le spectateur]. Pêle-mêle, sans
commentaire : l'assassinat de Kennedy, un enfant africain qui meurt de faim, les tours jumelles du World Trade Center
en train de brûler, Tesla se tenant au centre de son laboratoire, Greer tenant à la main un "plan d'ovni", ou méditant
pieusement avec un groupe d'adeptes, en les incitant à demander "tout au fond de leur coeur" que les extraterrestres
se manifestent » (6).
Maintenant, chacun est libre, évidemment, de juger la diatribe de JPP excessive (7), mais sa lecture est tout de même
hautement recommandable, ne serait-ce que pour juger des arguments avancés.
C’est donc dans une ambiance un peu « règlement de comptes » mais intéressante que s’acheva cette réunion.
Intéressante parce que débridée mais dépourvue de langue de bois, certains n’ayant pas hésité à dire tout haut ce
qu’ils pensaient jusqu’alors tout bas.
Je n’eus pas plus le temps que le mois précédent de présenter ma revue de presse. Ce sera chose faite au mois de
juin.
Compte rendu du 35e OVNI Grenoble
Trente et une personnes se sont retrouvées le 6 juin 2013 pour écouter un personnage attachant et volubile, le peintre
et contacté grenoblois Joseph Tarricone.
Né un 19 novembre, comme Picasso aime-t-il à rappeler avec espièglerie, cet octogénaire, ancien contrôleur de
fabrication chez Caterpillar, est un peintre passionné d’espace. Il a eu l’occasion d’exposer ses toiles à Grenoble, et
ce à plusieurs reprises au fil des décennies, quand il n’a pas eu les honneurs de la presse locale ou nationale.
Mais M. Tarricone, « Jo » pour les intimes, est venu nous parler de ses observations ovni, il est en effet un témoin
récidiviste et un contacté. Arrivé avant les autres au restaurant, Jo a préparé un petit stand où sont exposées
quelques toiles, affichettes et coupures de presse.
Sa première observation date possiblement de la fin des années 30 où Joseph, alors enfant, aperçut un « yoyo »
suspendu dans le ciel. Il fera ensuite une observation en 1954, à St Nizier, au-dessus des 3 pucelles.
Mais l’observation principale, celle qui le marquera pour la vie, a lieu le 2 septembre 1967 à 2 h 20 du matin à
Grenoble, au domicile du témoin. Celui-ci observe une lumière en forme d’assiette qui évolue dans le ciel à une
altitude qu’il évalue à environ 2 000 ou 2 500 m. L’objet se stabilise à la verticale du témoin et se transforme en une
auréole bleutée de 12 à 15 cm de diamètre à bout de bras. La lumière augmente d’intensité, un faisceau de lumière
étant maintenant dirigé sur le front du témoin, qui se met la main sur les yeux. Dans sa tête se forme l’image d’un
emblème en forme de losanges de couleurs entremêlés symbolisant quatre races (?). Deux jours plus tard, Jo
Tarricone se sent le devoir d’écrire deux courriers qu’il adresse à la NASA et à son homologue soviétique, lettres
porteuses de son emblème et d’un message enjoignant les rivaux à stopper la guerre froide et à engager une
coopération spatiale. Les agences spatiales lui répondront. Le témoin pense même que son emblème sera « copié »
à l’occasion de la mission Soyouz/Apollo de juillet 1975 (8), l’astronaute Thomas Stafford et Alexei Leonov s’étant
échangé la plaque commémorative de cette mission, plaque ayant une forme rappelant un losange.
Trois ans avant l’observation, le témoin, alors aux prises avec des problèmes personnels, aurait demandé de l’aide de
façon télépathique. Ses soucis auraient, d’après lui, été réglés après sa rencontre de 1967. Ce n’est pas la seule fois
que ses « prières » seront exaucées ; huit jours après avoir demandé à ce qu’ « ils » se montrent, Jo annonce à ses
amis, à l’occasion d’un barbecue en septembre 1973, que des ovnis devraient se rendre visibles. Il ne faudra pas
attendre longtemps pour qu’un phénomène céleste se manifeste – en plein jour ! - et enflamme les imaginations ;
mais non, Joseph est formel, ce n’est pas eux, ça c’est juste un bolide ! Un peu plus tard dans la soirée, deux objets
circulaires apparaissent et se déplacent en croisant leurs trajectoires, ce qui dessine dans le ciel des… losanges !
Cette fois c’est bien eux, et les amis sont époustouflés…
Deux autres observations eurent lieu au-dessus d’une scierie au début des années 70 à Vaulnaveys-le-Haut, l’une
d’entre-elles, dont Jo fut témoin, ayant éventuellement laissé des traces. Enfin, il nous apprit aussi que sa soeur avait
observé un vaisseau mère en sustentation au-dessus de l’hôtel du Moucherotte le 10 juillet 1978. D’après lui, un
témoin indépendant habitant Corenc se serait manifesté par la suite, son observation étant relatée dans un ancien
LDLN (paru en 2011 ou 2012 ?)
Joseph est sensible aux coïncidences et à la télépathie. Il se sent « poussé » à donner des conférences, ce qu’il fera
à de nombreuses reprises.
La revue de presse fut particulièrement riche car de nombreuses références n’avaient pas été évoquées lors des deux
précédentes réunions. Je citai les revues disponibles en kiosque « Aliens » n° 15, « Lanfeust Mag » n° 163, « Monde
Inconnu » n° 361 et 362, « Mondes étranges » n° 19, « Nexus » 85 et 86, « Science & Inexpliqué » n° 33, « Top
Secret » n° 66 et 67, « We Demain » n° 4, les revues spécialisées « LDLN » n° 411 et 412, ainsi qu’« Ufomania » n°
73 puis les livres En quête du triangle de la Burle de Renaud Benoist (Le Yukulute), Ovnis, la dimension spirituelle de
Michel Coquet (Le temps présent), 1942-1954 de Jean-Gabriel Greslé (Dervy), Dans la soucoupe des extraterrestres
de Nolwenn Gouezel (Bravo), Vestiges sur Mars de Nicolas Montigiani (Le temps présent) ainsi que Mystères
(Fleurus).
NOTES
(1) Le Discosure project nous a été présenté dans le détail par Thierry Gay à l’occasion du RUG de décembre 2011.
(2) Le nom de l’étoile la plus brillante du ciel se prononce (en anglais) comme l’adjectif « serious », qui signifie
sérieux, important, sûr…
(3) et plus précisément dans la ville fantôme de La Noria
(4) cf. l’analyse du Dr Gabilondo publiée en 2007
http://www.ignaciodarnaude.com/avistamientos_ovnis/Humanoide%20en%20La%20Noria,Iquique,Chile.pdf
(5) http://www.logosapologia.org/?p=4916
http://badufos.blogspot.fr/2013/04/greers-sirius-documentary-no-bombshell.html
http://www.ghosttheory.com/2013/04/24/sirius-ufo-documentary-sirius-ly-bad
http://seditiosus.blogspot.fr/2013/05/you-cannot-be-sirius-review-of-sirius.html
(6) http://www.jp-petit.org/nouv_f/GREER/Greer.htm
(7) Claude Poher, Nassim Haramein et Jean-Marc Roeder, entre autres, en prennent aussi pour leur grade, soyons
rassurés…
(8) Ce fut la première mission spatiale conjointe entre l'Union soviétique et les États-Unis après qu'ils se furent
affrontés pendant la guerre froide dans la course à la Lune (Wikipédia).
Si vous habitez la région de Grenoble, regardez régulièrement la page d’OVNI
GRENOBLE sur le site des RENCONTRES UFOLOGIQUES :
http://www.les-rencontres-ufologiques.com/ovni-grenoble-001.html
et n’hésitez pas à vous rendre aux rendez-vous de François Haÿs.
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LUCIEN CLEREBAUT VIENT DE NOUS QUITTER
C’est avec une profonde douleur que j’ai le triste devoir de vous annoncer le décès de Lucien Clerebaut, le fondateur
de la Sobeps à Bruxelles.
Il a dirigé et publié la revue Inforespace durant de nombreuses années, (1er numéro en 1972 – Dissolution de
l’association en 2007) revue qui était devenue l’une des plus sérieuses et des plus intéressantes au Monde. Il a
coordonné avec la vague Belge de 1990 toute une équipe qui a rassemblé des milliers de témoignages, publiés par la
suite deux ouvrages monumentaux consacrés à cette vague et surtout managé d’une main de maitre le monde
médiatique international, qui s’est intéressé durant quelques mois à l’évolution de cette vague. Un travail unique…
Nous l’avions rencontré à de nombreuses reprises, l’accueil fut toujours chaleureux, dans ses bureaux à Bruxelles ou
s’entassaient des dizaines de milliers de livres, revues, documents, classeurs etc…. consacrés aux années de travail
de la Sobeps. Il n’omettait jamais d’inviter lors de ces occasions ses plus proches collaborateurs, des gens qui
avaient les pieds sur terre.
Toute l’équipe de la Sobeps, cloturée après une AG le 11 juin 2007, est aujourd’hui en deuil. Tous le regretteront,
nous le regretterons. Patrick Ferryn en a repris la suite en quelque sorte, en fondant alors une nouvelle association,
la COBEPS, qui travaille encore aujourd’hui, à l’abri des regards médiatiques, avec un sérieux exemplaire.
Lucien Clerebaut, 70 ans, est décédé le 3 juillet 2013 à la suite d’une séries d’interventions chirurgicales, auxquelles il
a fini par succomber.
Ses funérailles auront lieu mardi 9 juillet 2013 à 11 heures, au crématorium d'Uccle, Avenue du Silence à Bruxelles.
Nous présentons à tous ses amis, à toute sa famille, nos plus sincères condoléances.
Texte que j’ai écrit après de DISSOLUTION DE LA SOBEPS en 2007.
C'est officiel, certaines rumeurs l'évoquait depuis quelques mois, le mot d'ordre était la discrétion dans l'attente de la
prochaine assemblée générale.
Lors de son AG du 11.06.2007, la SOBEPS (Société Belge d'Étude des Phénomènes Spatiaux) a décidé sa
dissolution. Elle publiait une revue, Inforespace, depuis 1972. Sa fondation, par Lucien Clerebaut, remonte au 20 mai
1971. Le numéro double (113/114) à paraître en décembre 2007 sera donc le dernier.
Les raisons principales en sont la baisse du nombre de membres et de la diminution des articles à publier dans la
revue. Lors de la vague belge de 1989-1991, la SOBEPS était parvenue à une collaboration unique au monde avec l'armée de l'air
Belge. Notons également que nos amis de Belgique ont bien des difficultés à renouveler leurs effectifs, les anciens disparaissent et
peu de jeunes reprennent le flambeau ! Lucien Clerebaut le patron de la Sobeps était bien seul avec une très petite équipe pour
diriger une structure si prenante. Mais voilà l’âge de la retraite qui arrive, aucune succession, des locaux occupés à perte, il était
inévitable qu'une solution devait être trouvée. Il en est malheureusement ainsi dans les associations ufologiques ou il n'y a aucune
subvention publique, seulement un dévouement total de la part de quelques personnes. Cette situation fragilise évidemment ce
type de structure.
Nos regrets quant à la disparition de la SOBEPS, nos plus sincères félicitations à Lucien Clerebaut, ainsi qu'à toute son équipe
pour avoir donné autant de leur temps et une grande partie de leur vie, à la cause ufologique.
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UNE EXCELLENTE RENCONTRE UFOLOGIQUE LE 2 JUILLET 2013 A PARIS OVNI CHEZ GUY LOTERRE
Un parterre de plus de 60 personnes ce soir pour écouter Francine Cordier.
18h30 : mise en place de la partie technique son , vidéo , par Gilles Lorant et Nikos Koulis, puis comme d'habitude le
repas en compagnie de Thierry Rocher, Gérard Deforge, Myriam Belmihoub. A une autre table Francine Cordier,
Thibaut Alexandre, avec leurs amis qui ont fait spécialement le déplacement et certains même de très loin.
Aussi présent l'auteur de bandes dessinées Jean yves Brouard venu précisément pour nous présenter les très
sérieuses bandes dessinées qu'il a consacré aux ovnis, série qui s'appellent :
« Mission kimono » le numéro 13
« Rafale sur l'artique », numéro 14
« l'ile Tsiolkovski »
et le quatrième tome "Alan Mac Bride" la cité des dragons.
Sont également présents Gilles Durand, secrétaire général du SCEAU, ainsi que son président en la personne de
Jacques Scornaux , et Fréderic Seine.
Une très grande surprise nous attendait avec la venue de Jean Michel Pouss qui nous ont confectionné un superbe
Gâteau représentant une magnifique tête d'Alien que nous nous réservons pour la fin de la soirée.
19 h 30 : Après présentation des BD de Jean Yves Brouard " Mission kimono" le micro est donné à Nikos pour les
informations ufologique du mois passé.
Enfin la parole est donnée à Francine Cordier qu'il va au pied levé faire sa prestation sans le montage Powerpoint qui
était prévu à l'origine, un malencontreux problème technique nous privant de sa diffusion.
Le forum animé par Francine Cordier à l'origine s'appelait « Ufologie » puis il fut suivi de « Sceptic Ovni », pour enfin
maintenant s'appeler « Ufo scepticisme ». Via le forum, elle diffuse des opuscules ayant pour nom « les dossiers
sceptic Ovni ». En préambule à ces opuscules un petit texte que Gilles Fernandez a écrit afin de faciliter et de détailler
la compréhension de l'opuscule. Ce petit texte a pour nom « le sac à dos ». Francine Cordier nous évoque alors le
contenu des différents dossiers de « sceptic ovnis ».
Vous retrouverez ci-après le détail de chaque dossier, du numéro un au numéro quatre. Le numéro 4, c’est le rapport
VECA de Gilles Munch, qui est consacré aux Crops Circles.
Enfin arrive le jeu habituel des questions - réponses ou Francine répondra avec une très grande précision et avec la
gentillesse et la politesse qui la caractérise mais malgré tout même ferme dans ses convictions.
De temps en temps également Gilles Durand s'y collera en support pour répondre à des questions qui elles aussi
étaient très détaillées.
Enfin la soirée arrive à son terme.
Après remerciements et applaudissements très nourris, nous remercions chaleureusement Francine Cordier de nous
avoir honoré de sa présence.
Pour clore cette dernière soirée du mois de juillet, nous partageons le magnifique et excellent gâteau que Jean-
Michel Pouss ont apporté à l’attention des participants aux Rencontres Ufologiques d’OVNI PARIS.
Toute l'équipe d4Ovni Paris et moi-même souhaitons de très bonnes vacances à ceux qui auront la chance de
pouvoir en prendre en leur donnant rendez-vous pour le mois de septembre.
Guy Loterre
Je me permets de rajouter ici le petit compte rendu que Francine m'a gentiment fait parvenir.
Compte rendu publié à la fois sur le forum « ufo scepticisme » et sur ma page « facebook » :
"OVNI PARIS le 2 juillet 2013. Ce fut un très grand plaisir pour moi de revoir certaines personnes que je connais mais
dont je suis géographiquement éloignée, d'en rencontrer d'autres autrement que de façon "virtuelle" et ce fut aussi un
nouvel enrichissement personnel en raison des échanges essentiellement courtois, parfois humoristiques ce qui
prouve l'intelligence des convives qui venaient pour s'informer sans cet esprit quérulent qui relègue trop souvent
l'ufologie à une guerre de tranchée et en donne une image déplorable.
Les sujets : Méthodologie de recherches, ovni et crop-circles et bien sur l'édition des opuscules "dossiers de SO"
condensant certains des travaux des membres du forum ufo scepticisme, (de toutes opinions), ont donc été au centre
de cette soirée et il n'y a pas eu de polémique stérile.
Je remercie sincèrement les organisateurs, tous les participants à cette soirée et mes amis qui avaient fait le
déplacement depuis parfois bien loin, celles et ceux qui m'ont appelée au sujet de cette intervention et bien sûr, mon
hôte. Je suis ravie des demandes de contacts et j'espère qu'elles seront suivies d'échanges aussi passionnants dans
le respect des uns et des autres.
Ce fut forcément trop court !
Patrice Seray, initiateur des dossiers de SO se fera une joie de présenter à son tour cette particularité du forum qu'est
l'édition des opuscules intitulés "les dossiers de SO" à Paris, certainement après la rentrée prochaine.
Vous recevez ces informations, vous pouvez les reproduire……..
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