Table Of ContentEssai	philosophique
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
Ecrit	par	Elvire	Békallé
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
A	l’homo	sapiens,
Au	commencement	?	Un	boum,	un	feu	d’artifice,	une	explosion	stellaire	et	tout	ce
que	 l’on	 peut	 imaginer	 ou	 supposer.	 Après	 une	 concertation	 de	 tout	 le	 cosmos,	 la
communauté	galactique	débuta	les	tout	premiers	assemblages	de	poussières	d’étoiles	dits
«	connexions	primordiales	».	Ainsi	se	révélèrent	à	la	face	de	l’univers	entités	après	entités,
les	unes	plus	étendues	que	d’autres	aux	fonctions	tous	azimuts	et	au	degré	de	conscience
pluriel.	Dans	cet	espace,	les	lois	sont	personnelles	et	implacables.	Ces	entités	qui	obéissent
à	 ses	 lois	 programmées	 par	 des	 formules	 algorithmiques	 se	 composent	 d’astres	 et	 de
planètes	 qui	 s’identifient	 par	 différentes	 lumières	 et	 caractéristiques.	 Ces	 phénomènes
interagissent	sur	les	sites	d’exploitation	selon	les	objectifs	et	la	mobilité	des	consciences…
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
NB	:	Il	n’y	a	aucun	désir	de	convaincre.
	
	
	
	
	
	
	
AVANT-PROPOS
Cet	 exposé	 est	 une	 réflexion	 basée	 sur	 ce	 que	 je	 pense	 entendre	 par	 «	 Grèce
Cosmique	»	ou	«	Grèce	du	Cosmos	».	Elle	ne	repose	sur	aucun	paramètre	tangible	et	ne
provient	 que	 de	 mon	 imagination	 mise	 en	 ordre	 par	 un	 certain	 nombre	 d’idées	 et
d’informations	 provenant	 de	 la	 mythologie	 grecque	 et	 d’une	 appréciation	 strictement
personnelle	en	fonction	de	mes	observations.	J’ai	simplement	voulu	joindre	l’artistique	à
la	métaphysique	sans	désir	de	déstabilisation	des	codes	religieux.
Le	présent	manifeste	n’est	dès	lors	qu’une	idéologie	pour	ceux	qui	sont	curieux	des
idéologies	 alternatives	 et	 insolites.	 En	 termes	 simples,	 on	 peut	 le	 définir	 comme	 une
philosophie	extra	sensorielle	fantaisiste	ou…	athénologique	!
	
	
	
	
	
	
	
	
Chapitre	1
D’un	point	de	vue	rationnel,	je	dirai…
	
	
Lorsque	deux	consciences	se	trouvent	côte	à	côte,	l’une	tend	inévitablement	à	dominer
l’autre.	Selon	Hegel,	chacune	d’elles	cherche	la	reconnaissance	dans	un	duel	de	puissance
au	bout	duquel	l’une	s’incline	devant	l’autre,	admet	sa	valeur	et	renonce	à	la	contester.
Cette	théorie	régirait	les	rapports	humains,	et	par	extension	les	familles,	les	partis,	les
peuples,	 les	 nations.	 Certains	 théoriciens	 expliquent	 l’histoire	 de	 l’humanité	 et
l’environnement	 international	 actuel	 par	 ce	 phénomène	 qu’ils	 considèrent	 naturel,
déduisant	que	ses	formes	les	plus	abusives	telles	que	l’esclavage,	l’holocauste,	l’apartheid,
la	colonisation	ou	l’impérialisme	en	sont	les	malheureuses	conséquences.
Le	philosophe,	Michel	Terestchenko,	spécialiste	en	philosophie	morale	et	politique	s’est
intéressé	à	l’éthique	de	la	bienveillance	dont	la	définition	peut	être	assimilée	à	celle	de
l’amour,	ou	du	moins	en	est	une	modalité,	se	détachant	presqu’entièrement	de	la	morale.
S’appuyant	sur	‘‘Les	fondements	de	la	métaphysique	des	mœurs’’	d’Emmanuel	Kant,	texte
participant	 aux	 fondements	 de	 la	 philosophie	 de	 la	 morale	 moderne,	 il	 distingue	 la
sensibilité	changeante	de	la	bienveillance,	de	l’obligation	morale	relevant	de	la	raison	pure
qui	exclut	les	passions	humaines.	Dans	une	nécessité	urgente	loin	de	l’idéalisme,	cette
obligation	 morale	 s’impose	 aujourd’hui	 dans	 les	 politiques	 interétatiques	 souvent
conquérantes	dans	les	actions	mais	masquées	par	des	paroles	avenantes.
Ainsi,	un	dirigeant	du	Nord	qui,	par	souci	de	convictions	démocratiques,	s’est	engagé	dans
des	rapports	d’égal	à	égal	avec	un	dirigeant	du	Sud	revendiquant	sa	souveraineté,	aurait
empiété	sur	les	intérêts	de	ce	dernier	à	chaque	fois	qu’il	aurait	remis	les	siens	en	cause	et
vice-versa,	ou	lorsqu’il	aurait	évalué	sa	politique	incertaine.	A	première	vue,	c’était	de
bonne	guerre.	Mais	de	bonne	guerre	contre	qui	?	Contre	le	pouvoir	nordiste	qui	a	été
directement	stigmatisé	comme	étant	déresponsabilisant	et	condescendant	compte	tenu	de
précédents	historiques	?	Contre	le	régime	sudiste,	estimé	à	tort	ou	à	raison	illégitime,	qui	a
patiné	davantage	en	plus	d’être	ralenti	par	un	système	interne	complexe	?	Ou	contre	le
peuple	du	Sud,	fragile	de	conscience,	éreinté	par	ses	propres	turpitudes	?	Un	homme
politique	a	dit	que	«	la	politique	même	civilisée	reste	un	univers	rude	»,	et	il	serait	naïf	de
ne	pas	voir	dans	cette	affirmation	une	vérité.
Devrait-on	 remettre	 en	 cause	 la	 bonne	 foi	 du	 Nord	 qui	 dit	 œuvrer	 à	 plus	 de	 morale
politique	 tandis	 que	 de	 forts	 soupçons	 pesaient	 sur	 sa	 sévérité	 intraitable	 au	 nom	 de
laquelle	il	aurait	obstrué	secrètement	les	efforts	de	développement	d’une	administration
sudiste	indélicate,	dans	un	monde	où	seul	le	pouvoir	d’achat	garantit	la	respectabilité	des
peuples	?	Si	cela	fut	vrai,	opter	pour	de	la	grandeur	d’âme,	sans	compromission	mais	avec
une	souplesse	compréhensive,	peut	susciter	un	soulagement	populaire.	Ce	choix	valorisera
la	doctrine	politique	à	laquelle	ce	gouvernorat	nordiste	a	souscrit	à	savoir	:	«	travailler	à
une	 société	 plus	 juste	 »	 sans	 influence	 émotionnelle	 mais	 par	 devoir	 moral.	 Le
développement	 de	 la	 justice	 sociale	 piétine	 dans	 le	 Sud,	 ce	 qui	 ne	 le	 rend	 pas	 plus
excusable,	mais	les	peuples	ont	les	dirigeants	qu’ils	méritent.
Par	 ailleurs,	 le	 régime	 et	 le	 peuple	 du	 sud	 sont	 deux	 entités	 distinctes	 mais	 liés.	 La
deuxième	 est	 certainement	 plus	 vulnérable	 que	 la	 première.	 Les	 pressions	 extérieures
visant	à	dompter	le	régime	peuvent	provoquer	son	échec	et	amplifier	le	malaise	populaire,
si	le	peuple	ne	parvient	pas	à	plus	de	robustesse	intellectuelle	pour	s’assumer.	La	maturité
convoitée	par	le	Sud	avec	la	compréhension	qui	est	le	sien	n’explosera	pleinement	que
progressivement.	 A	 long	 terme,	 cela	 permettra	 la	 rentabilité	 des	 démarches	 étatiques
initiées.	La	complicité	avec	un	relationnel	externe	prompt	à	l’égalité	attentive,	et	non	à	la
rivalité	inopportune	va	accélérer	le	processus	de	croissance	et	ce,	dans	l’intérêt	de	tous.
Que	 fallait-il	 penser	 après	 que	 le	 Sud	 eut	 été	 jugé	 incapable	 par	 le	 Nord	 suite	 à	 des
résultats	visibles	mais	imparfaits	alors	que	dans	le	même	temps	des	rapports	d’égal	à	égal
avaient	parfois	été	entretenus	avec	une	fermeté	vue	comme	de	la	désobligeance	(Nord)	et
avec	un	fort	désir	d’autonomie	perçu	comme	de	l’impertinence	(Sud)	?	Les	politiques
Nord-Sud	de	ce	type	n’avaient-elles	pas	pris	en	otage	les	sudistes	vexés	sous	le	regard
partial	 des	 nordistes	 ?	 Les	 mots	 avaient	 divergé	 des	 actions,	 les	 bonnes	 intentions
exprimées	ont	été	contrariées	à	cause	d’une	lutte	des	personnalités	malvenue.
Ignorant	les	fluctuations	des	politiques,	croire	que	«	les	 peuples	 peuvent	 aussi	 porter
l’espérance	 »	 et	 que	 les	 consciences	 poursuivent	 leur	 évolution	 est	 d’un	 réconfort
inestimable	 face	 au	 constat	 que	 toute	 personne	 prisonnière	 de	 ses	 susceptibilités	 peut
exercer	 un	 impérialisme	 à	 visage	 humain	 sauf	 que	 le	 changement,	 on	 sait	 que	 c’est
maintenant.
«	Philosophie	de	la	morale	politique	:	l’impérialisme	à	visage	humain	»		Article	publié
en	juin	2013	dans	le	Bimensuel	Gabonais	La	Nouvelle	République
	
	
Chapitre	2
Théorie	de	la	Grèce	cosmique
	
	
I- A	l’origine	de	la	pensée
																	
	
Tout	 le	 monde	 connait	 la	 Grèce.	 En	 tout	 cas,	 tous	 ceux	 qui	 ont	 reçu	 une	 instruction
conventionnelle.	Depuis	mon	enfance,	je	suis	passionnée	par	ses	mythes,	et	ses	paysages
m’ont	toujours	fasciné.	Je	devais	avoir	11	ou	12	ans	lorsque	j’ai	entendu	parler	d’Homère.
Ce	nom	me	paraissait	très	familier.	Puis	j’ai	lu	L’odyssée	avec	son	héroïque	Ulysse	même
si	j’en	garde	un	vague	souvenir.	Cet	univers	fantastique	ne	m’attirait	pas	en	tant	que	tel
n’étant	pas	une	folle	adepte	de	science-fiction.	Il	y	avait	autre	chose…	C’était	des	indices
comme	Le	Petit	Poucet	laissant	des	miettes	de	pains	derrière	lui	pour	retrouver	son	chemin
dans	la	forêt.	Ce	conte	aussi	était	un	indice.	En	le	découvrant,	je	me	souviens	que	j’avais
trouvé	l’idée	trop	géniale	pour	qu’elle	puisse	venir	d’un	enfant.	Rationnellement	parlant,
on	pourrait	croire	que	c’est	le	fruit	d’une	imagination	débordante	mais	des	indices	de	ce
type	sont	quasi	omniprésents.	Il	y	en	a	partout.
A	 l’origine	 de	 la	 pensée,	 il	 y	 a	 d’abord	 la	 Grèce,	 pas	 celle	 d’aujourd’hui	 ni	 le	 lieu
géographique.	C’est	une	vision	lointaine	dont	la	distance	se	mesure	en	années-lumière.
Même	ce	critère	de	mesure	est	très	métaphorique.	Tout	semble	magique	bien	que	le	mot
soit	faible.	Il	ne	s’agit	pas	de	magie	dans	le	sens	communément	admis.	Je	SUPPOSE	qu’il
est	 davantage	 question	 d’un	 faisceau	 lumineux	 émis	 depuis	 le	 cosmos,	 d’une	 vision
holographique	 matérialisée.	 Ce	 faisceau	 SERAIT	 un	 point	 de	 contact,	 un	 panneau	 de
signalisation	et	une	carte	routière	«	à	réalité	augmentée	».
II- La	Grèce	du	Cosmos
													
a) Symbolisme	et	vocation
																								
	
Il	sera	davantage	question	d’un	symbolisme	personnalisé	que	d’une	retranscription	des
notions	admises	par	les	civilisations	antiques.
La	Grèce	Cosmique	est	le	symbole	d’un	vaste	chantier	hors	du	système	solaire.	C’est	une
planète	vierge.	C’est	la	planète	que	j’ai	reçue	en	cadeau	dans	un	monde	parallèle.	Il	n’y	a
rien	là-bas	:	ni	fleurs	ni	eau	ni	soleil	ni	vent…	Tout	y	est	soumis	à	mon	plaisir	créatif
comme	une	gigantesque	feuille	de	dessin.
Le	véritable	nom	de	cette	Grèce	Cosmique	est	:	«	Wmdwdytfgu	».	Selon	les	circonstances,
elle	est	également	surnommée	«	Wmdthytrtwmd	»	ou	«	Lachalalala	».	Une	façon	de	dire
que	le	nom	de	cet	endroit	varie	selon	les	désirs	d’une	âme	pure.
La	Grèce	Cosmique	est	musicale.	C’est	un	hymne	courageux.	Elle	n’est	que	symphonique
et	motivante.	Elle	symbolise	la	Domination	de	la	Liberté	harmonisée.	C’est	une	mélodie
inspirée	de	la	Guerre	de	l’Amour,	de	la	Beauté	violente	et	de	la	complémentarité	entre	la
douceur	et	la	force.	Ses	odes	fédèrent,	inquiètent	et	cristallisent.	La	musique	de	la	Grèce
Cosmique	est	une	chambre	secrète.	Elle	a	une	destination	précise.
La	Grèce	Cosmique	est	un	échange	d’expertise.	C’est	un	cours	d’alpinisme	perpétuel.	Elle
gravit	les	échelons	de	finesse	lyrique	dans	une	constante	vérité	envers	soi-même.	Elle	fait
de	 la	 réalité	 une	 illusion	 matérielle	 et	 du	 virtuel	 une	 évidence	 indiscutable.	 Elle	 est
extrême	épuration,	raffinement	concurrentiel	et	élitisme	royal.
b) Démographie	et	coutumes
																								
«	On	ne	nait	ni	devient	Gréco-cosmique	!	On	l’est	depuis	toujours	ou	pas	»	de	E.B
Tous	les	habitants	de	la	Grèce	Cosmique	sont	des	pèlerins	de	nature.	Ce	ne	sont	pas	des
personnes	mais	des	régions	de	l’univers.	Il	existerait	12	régions	principales	mais	c’est	un
chiffre	approximatif.	Ces	régions	sont	hiérarchisées	et	interconnectables.
Sur	 Terre,	 elles	 ont	 majoritairement	 une	 forme	 humaine	 bien	 qu’elles	 se	 distinguent
radicalement	 des	 deux	 variations	 de	 l’espèce	 à	 savoir	 l’humain	 spirituel	 et	 l’humain
animal.
Exemple	:	La	communication	entre	les	régions	est	très	soucieuse	du	timing	entre	les	différents	signaux
émis,	de	l’esthétique	du	message	transmis	qu’il	soit	négatif	ou	positif	et	des	frontières	régionales.	Chez
les	hommes	spirituels,	plus	le	message	est	direct,	plus	il	est	perceptible	et	apprécié.	Chez	les	hommes
animaux,	il	n’y	a	pas	de	communication.	Ce	ne	sont	que	des	émissions	de	sons.	Disons	que	le	mode	de
communication	est	peu	élaboré.
La	culture	cosmique	est	multicolore	par	essence.	Elle	est	innée	aux	gréco-cosmiques	et
fait	donc	intégralement	partie	de	tout	ce	qui	les	attire,	de	tout	ce	qu’ils	émettent	et	de	tout
qu’ils	 entendent/comprennent.	 Les	 couleurs	 sont	 plus	 qu’un	 langage,	 elles	 sont
identitaires.
La	gastronomie	cosmique	est	marginale.	Dans	une	forme	humaine,	ce	qui	constitue	une
alimentation	 n’est	 pas	 tant	 l’aliment	 en	 lui-même	 mais	 ce	 qu’il	 représente
émotionnellement	à	un	instant	prédéfini.	Les	éléments	nutritifs	des	humains	nourrissent
leurs	enveloppes	corporelles.	Le	corps	cosmique	est	pour	sa	part	nourri	des	faisceaux	émis
des	différentes	régions	de	l’univers	directement	ou	indirectement,	sciemment	ou	non.
La	tradition	cosmique	est	un	conformisme	dans	le	mode	opératoire.	Selon	le	niveau	de
révélation	de	leur	conscience	cosmique,	les	gréco-cosmiques	éprouvent	un	besoin	de	dire
ce	qu’ils	voient	et	qui	suscitent	un	intérêt	propre	à	leurs	envies.
Exemple	:	La	tradition	amoureuse	est	présente	au	même	degré	dans	toute	la	Grèce	Cosmique.	Elle	est
distribuée	par	hasards,	par	calcul,	par	envie,	par	caprice	dans	un	esprit	de	liberté.
Chez	l’homme	spirituel,	l’amour	est	une	valeur	ultra-primordiale.	L’homme-animal	perçoit	l’amour
comme	un	phénomène	biologique,	une	pulsion.
c)Histoire	et	société
	
Avant	le	Big	Bang	:	Le	Shut	Down	de	la	galaxie
La	science	humaine	raconte	aux	hommes	un	commencement	universel	datant	de	plusieurs
milliards	d’années.	Le	présent	satisfecit	n’est	pas	rédigé	dans	le	but	de	juger	cette	théorie
mais	tente	de	révéler	les	secrets	de	l’histoire	de	cette	galaxie	et	sa	possible	position	dans
l’environnement	universel.
Dans	un	cosmos	où	tout	est	productible,	avant	le	Big	Bang,	il	y	avait	un	système	qui	a
échoué	 et	 qui	 de	 par	 son	 caractère	 nocif	 a	 été	 désintégré	 par	 les	 galaxies	 voisines
excédées.	 L’expérience	 de	 la	 1èregalaxie	 matérielle	 a	 été	 un	 tel	 désastre	 que	 les
scientifiques	 cosmiques	 ont	 organisé	 son	 explosion	 anticipée	 pour	 des	 raisons
multiples. � Section	à	compléter
Lancement	de	la	seconde	galaxie	expérimentale	;	une	exploration	amalgamée
En	vue	de	réussir	cette	mission,	plusieurs	gréco-cosmiques	à	dimensions	variables	ont	été
sélectionnés	afin	de	diligenter	la	colonisation.	Ils	sont	2	(maximum	4)	à	avoir	pris	goût	à
faire	de	cette	mission	exploratoire	un	lieu	de	prédilection	pour	leurs	loisirs	personnels	à
tendance	catastrophique.	Ils	vivent	de	ce	fait	dans	une	grande	discrétion	organisée	depuis
la	 structuration	 de	 la	 vie	 sur	 Terre.	 Leur	 localisation	 précise	 à	 ce	 jour	 demeure
indéterminée	même	si	l’Amérique	du	Nord	est	très	probablement	leur	lieu	de	résidence.
Mes	investigations	personnelles	me	poussent	à	croire	que	deux	responsables	d’une	société
informatique	américaine	seraient	les	deux	concernés	mais	je	n’ai	aucune	certitude.
Mise	en	place	de	plusieurs	systèmes	de	crime	organisé	d’ordre	cosmique	:	Les
escrocs	venus	d’ailleurs
Parmi	les	explorateurs	criminels,	le	plus	prolifique	d’entre	eux	est	infirme.	Cette	infirmité
lui	confère	probablement	une	énergie.	Son	identité	humaine	actuelle	reste	non	maitrisée
mais	il	est	bien	présent	géographiquement.	Dans	son	état	d’être	humain,	il	peut	être	tout	à
fait	valide.	La	dernière	fois	qu’il	s’est	révélé	au	grand	jour,	il	y	a	plus	de	2000	ans,	il	a	été
crucifié	dans	le	but	d’obtenir	une	énergie	supérieure	selon	des	lois	cosmiques	imprécises.
Il	tire	son	pouvoir	de	l’énergie	que	lui	accordent	ses	adhérents.	Il	agit	en	complicité	avec
une	 région	 de	 plus	 grande	 dimension	 qui	 a	 acquis,	 au	 cours	 des	 derniers	 milliards
d’années,	une	énergie	incommensurable	à	force	de	les	soutirer	des	luttes	contre	d’autres
gréco-cosmiques	 aux	 formes	 d’abord	 “acorporelles”	 (réf.	 Les	 Gigantomachies	 et	 les
titanomachies	 de	 la	 mythologie	 grecque).	 Les	 désaccords	 étaient	 tels	 que	 tous	 les
explorateurs	ont	pris	part	à	ces	différents	combats	cosmiques	pour	un	camp	ou	pour	un
autre.	Ces	affrontements	s’étirant	sur	de	très	longues	périodes	ont	eu	une	incidence	sur	le
cours	de	la	Vie	sur	Terre.	Une	Gigantomachie	est	actuellement	en	cours.
Un	processus	d’évolution	génétique	pro-colonialiste
L’objectif	global	de	cette	mission	vise	à	établir	une	société	proche	voire	similaire	à	la
société	du	Cosmos.
Lorsqu’une	élite	cosmique	a	été	établie	et	que	les	premières	familles	d’hominidés	sont
apparues,	 d’autres	 luttes	 se	 sont	 produites	 et	 ont	 affecté	 les	 gènes	 des	 humains.	 Les
explorateurs	de	par	leur	identité	cosmique	sont	devenus	des	divinités	pour	se	distinguer.
Ces	divinités	sont	hiérarchisées	selon	la	superficie	de	leurs	régions	dans	le	Cosmos.	Une
région	peut	s’étendre	selon	les	conquêtes	cosmiques	qui	peuvent	s’opérer	depuis	la	Terre.
Exemple	 :	 Dans	 la	 mythologie	 grecque,	 Zeus,	 tout	 comme	 Cronos	 son	 père,	 a	 été	 averti	 de	 son
renversement	par	un	de	ses	descendants.	Lorsqu’il	s’unit	à	Métis,	divinité	personnifiant	la	ruse,	il	l’avale
étant	en	grossesse.	C’est	une	conquête.	Il	ajoute	la	ruse	à	ses	différents	pouvoirs	acquis	et	innés.
III- Le	Gréco-cosmique,	qui	est-il	?
									
«	Tout	l’Univers	est	algorithmique.	La	lecture	des	écritures	mathématiques	dépend	du	niveau	d’entendement.	»
De	E.B
Comme	susmentionnéun	habitant	de	la	Grèce	du	Cosmos	est	une	région	de	l’Univers,	plus
précisément	une	région	astrale.	Il	y	a	une	énergie	en	chaque	astre.	Tous	les	humains	ne
sont	pas	reliés	à	un	astre,	selon	mon	hypothèse. � Section	à	compléter
Pour	en	revenir	aux	gréco-cosmiques,	ce	sont	soit	une	ou	plusieurs	constellations,	ce	qui
les	classifie	par	ordre	d’importance.	Chaque	constellation	est	représentative	d’une	énergie.
Les	 gréco-cosmiques	 sont	 des	 algorithmes	 très	 élaborés	 d’où	 leurs	 aptitudes	 hors	 du
commun	dans	la	vie	terrestre.	Leur	apparition	dans	des	corps	matériels	est	successive	aux
différentes	 luttes	 cosmiques	 et	 au	 désir	 de	 faire	 perdurer	 leurs	 énergies	 sur	 le	 site
exploratoire.	L’humain	étant	le	plus	évolué	des	êtres-vivants,	il	devient	un	terroir	pour
impacter	l’environnement.	Beaucoup	d’explorateurs	l’ayant	très	vite	compris	ont	souhaité
modifier	les	codes	génétiques	de	l’espèce	humaine	en	vue	d’acquérir	un	plus	large	champ
de	manœuvre.
Lorsque	l’ADN	n’est	pas	suffisamment	enrichi,	l’humain	utilisé	commet	des	erreurs	et	fini
par	s’autodétruire	ou	par	être	détruit	soit	par	l’environnement	naturel	soit	sous	l’influence
de	 l’adversité	 cosmique.	 L’explorateur	 n’étant	 pas	 mortel	 erre	 dans	 l’espace	 terrestre
influençant	les	esprits	humains	puis	des	lignées	et	des	lignées	d’humains	jusqu’à	conduire
à	la	formation	d’un	nouvel	ADN	capable	de	le	supporter	et	opérationnel.
C’est	ainsi	qu’un	explorateur	du	1er	âge	peut	retrouver	ses	traces	dans	plusieurs	œuvres
terrestres	 contemporaines	 et	 anciennes	 ayant	 participé	 à	 leur	 création.	 Ces	 œuvres	 lui
parlent.	 Les	 explorateurs	 vaincus	 n’ont	 en	 général	 pas	 suffisamment	 de	 capacités
énergétiques	 pour	 influencer	 directement	 le	 comportement	 des	 humains	 afin	 d’être
pourvus	 d’une	 enveloppe	 corporelle.	 Leurs	 énergies	 restent	 cependant	 opérantes	 et
participatives	du	cours	des	choses.	Les	plus	vastes	régions	astrales	sont	naturellement	les
plus	puissantes	et	leur	prédominance	ancienne	leur	confère	une	avance	pas	forcément
insurmontable.
Exemple	:	Dans	la	mise	en	place	des	différents	systèmes	de	captivité,	tout	est	méticuleusement	conçu
pour	favoriser	leurs	gènes	de	civilisation	en	civilisation,	par	la	force	physique,	par	le	matérialisme,	par	la
religion,	par	la	culture,	par	la	manipulation	des	faits	historique,	par	les	apparences.	Il	fallait	qu’il	y	ait
un	début	de	modification	des	gènes	et	à	chaque	avancée	génétique,	un	maillon	du	système	est	mis	en
place	 pour	 protéger	 leur	 ascendance	 sans	 pour	 autant	 améliorer	 de	 façon	 significative	 le	 mode
d’existence	de	l’espèce	humaine.	C’est	une	tyrannie	contre-productive	savante	menaçant	la	réussite
expérimentale	de	la	mission	galactique.	Comme	je	l’ai	dit	plus	haut,	«	ils	ont	pris	goût	».
C’est	pourquoi	conscient	de	ce	refus	de	transmission,	avant	d’être	en	position	ascendante,
une	 relève	 est	 déjà	 en	 phase	 de	 préparation.	 Tous	 ceux	 qui	 transportent	 leur	 énergie
«	paternaliste	»	et	«	méga-viriliste	»	agissent	de	cette	façon.	C’est	le	résultat	de	leur
influence	sur	les	gènes	de	l’humain.
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
Chapitre	3
Etude	cosmo-psychologique	du	cas	«	LARRY	P.	»