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Julia Grignon
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Julia Grignon
L’applicabilité temporelle du droit
international humanitaire
C
G
Droit international
Collection
Genevoise
Julia Grignon
L’applicabilité temporelle
du droit international
humanitaire
Thèse n° 867 de la Faculté de droit de l’Université de Genève
La Faculté de droit autorise l’impression de la présente dissertation sans entendre émettre par
là une opinion sur les propositions qui s’y trouvent énoncées.
Information bibliographique de la Deutsche Nationalbibliothek
La Deutsche Nationalbibliothek a répertorié cette publication dans la Deutsche Nationalbiblio-
grafie; les données bibliographiques détaillées peuvent être consultées sur Internet à l’adresse
http://dnb.d-nb.de.
Tous droits réservés. Toute traduction, reproduction, représentation ou adaptation intégrale ou
partielle de cette publication, par quelque procédé que ce soit (graphique, électronique ou
mécanique, y compris photocopie et microfilm), et toutes formes d’enregistrement sont stricte-
ment interdites sans l’autorisation expresse et écrite de l’éditeur.
© Schulthess Médias Juridiques SA, Genève · Zurich · Bâle 2014
ISBN 978-3-7255-8507-6 Schulthess Médias Juridiques SA, Genève · Zurich · Bâle
www.schulthess.com
ISSN Collection genevoise: 1661-8963
Remerciements
La rédaction de la thèse de doctorat est réputée être un travail solitaire. À en
juger par la kyrielle de personnes qui doivent être remerciées de voir le
présent cheminement aboutir, il semblerait tout au contraire que celle-ci soit
une entreprise collégiale.
J’aimerais en tout premier lieu adresser mes très sincères remerciements
à Monsieur le Professeur Marco Sassòli pour son profond et indéfectible
soutien tout au long de ce travail de recherche, et bien au-delà. Je mesure
l’honneur qu’il m’a fait en acceptant de diriger cette thèse, puis la confiance
qu’il m’a réitérée à chaque étape de ce processus. J’aimerais saluer sa
disponibilité chaque fois que l’ai sollicité mais aussi sa capacité à m’accorder
une grande liberté dans l’appréhension de mon travail. J’ai particulièrement
pu apprécier son intégrité, sa transparence, sa franchise ou encore sa
bienveillance. Sans doute tout chercheur en droit international humanitaire
serait heureux d’avoir l’opportunité d’échanger, ne serait-ce que brièvement,
avec lui ; j’ai eu l’inestimable privilège de le faire très régulièrement au cours
de ces cinq dernières années à travailler à ses côtés. C’est donc
considérablement enrichie de ses enseignements que j’achève cette thèse de
Doctorat. Je l’en suis profondément reconnaissante et j’espère continuer à lui
faire honneur en transmettant à mon tour les valeurs qu’il m’a témoigné.
Mes remerciements vont également à d’autres membres de la Faculté de
droit de l’Université de Genève, au sein de laquelle j’ai rédigé la plus grande
partie de ce travail, alors que j’étais assistante de recherche et d’enseignement.
J’aimerais remercier le Doyen Christian Bovet et sa successeuse la Doyenne
Christine Chappuis, à titre personnel, et au travers eux l’ensemble du
personnel de la Faculté, notamment pour m’avoir alloué le temps nécessaire à
la finalisation de cette recherche. Je tiens en outre à adresser de chaleureux
remerciements à la Professeure Laurence Boisson de Chazournes, présente
notamment à un moment clé de ce travail. Je remercie également la
Professeure Paola Gaeta pour ses encouragements enthousiastes. Djemila
Carron et Nishat doivent également être remerciées pour leurs réflexions
stimulantes au cours de nos échanges nourris sur le droit international
V
Remerciements
humanitaire. Je remercie tout particulièrement Djemila pour son soutien et sa
clairvoyance dans les tous derniers moments. Merci également à Mara Tignino
qui a partagé de nombreux moments importants de l’évolution de ce travail et
à toutes les assistantes et tous les assistants du Département de droit
international et organisation internationale qui ont été mes collègues tout au
long de ce processus.
Cette thèse de Doctorat, comme tant d’autres événements tant
personnels que professionnels survenus depuis ma participation au Concours
il y a maintenant dix ans, doit également énormément au Comité pour le
Concours Jean-Pictet. En son sein, j’aimerais adresser des remerciements
particuliers à Jean-François Quéguiner, Michel Deyra, Théo Boutruche et
Catarina de Albuquerque, pour leurs encouragements, leurs réflexions, leurs
conseils et parfois leurs relectures.
J’aimerais également tout spécialement adresser de profonds
remerciements et exprimer mon immense gratitude à Christophe Lanord pour
son accompagnement tenace et extrêmement précieux. Au-delà de ses
encouragements, ses conseils, questions, commentaires ou suggestions ont
considérablement contribué à mettre en valeur le contenu de ce travail.
Au moment d’achever ce travail, j’ai évidemment une pensée toute
particulière pour Marie-Louise Tougas et Lindsey Cameron, auxquelles
j’aimerais témoigner ma profonde reconnaissance pour leur soutien et leur
amitié. J’y associe également Christina Leb. J’ai également très présent à
l’esprit le souvenir plus lointain des cours de droit international public
dispensés par, puis les qualités de Directrice du Diplôme d’Études
Approfondies en Protections interne et internationale des droits de l’Homme
de, Madame la Professeure Laurence Burgorgue-Larsen. Cette thèse trouve
incontestablement sa source profonde dans sa passion communicative.
Deux institutions méritent également, au travers de leurs personnels,
mes remerciements. Les documentalistes du Centre d’information et de
documentation du Comité international de la Croix-Rouge, dont le
dévouement et l’accessibilité doivent être soulignés. Il n’y a sans doute pas
d’endroit plus inspirant et plus fonctionnel pour effectuer un travail de
recherche en droit international humanitaire que la bibliothèque dont ils sont
la cheville ouvrière. J’aimerais également adresser des remerciements spéciaux
à toute l’équipe de l’Espace de vie enfantine du Secteur Université, site Baud-
Bovy, qui humanise quotidiennement le concept de promotion de la recherche
féminine dans le milieu académique. Je ne peux décrire la chance que je
considère avoir été la mienne d’avoir pu, presque chaque jour de la rédaction
de cette thèse, lui confier mes deux enfants dans un sentiment de confiance
absolu.
VI
Remerciements
En plus des membres de ma famille auxquels j’adresse également mes
remerciements, un grand nombre d’amies et d’amis ont partagé des moments
importants de ce projet de recherche. J’aimerais les remercier très sincèrement
de leur soutien et de leur compréhension. En citer quelques-uns c’est
nécessairement en omettre beaucoup d’autres, j’aimerais cependant témoigner
ma reconnaissance toute particulière à Fannie Lafontaine, mais également à
Bénédicte et Laurent Magne, Julien Lérisson, et Xavier Gravend-Tirole. Deux
personnes ont également joué un rôle particulier dans l’accomplissement de
cette recherche, Anne Ducat et Catherine Larue, sans les conseils et la
bienveillance desquelles ce travail n’aurait assurément pas le même relief.
L’achèvement de cette thèse de Doctorat coïncide avec le début de mes
nouvelles fonctions en tant que Professeure à l’Université Laval. J’aimerais
remercier le Comité de sélection de m’avoir choisie et de m’avoir témoigné sa
confiance. C’est animée d’une joie difficilement descriptible que je rejoins
l’équipe de la Faculté de droit.
J’aimerais enfin rendre un hommage très spécial à la patience, à la
compréhension, à la confiance, au soutien et à tant d’autres infinies qualités
d’Édouard, Callixte et Zoé, mais aussi de Maxime et Elliott. Avec la fin de cette
thèse, nous prenons un nouveau départ, je souhaite qu’il nous soit au moins
aussi profitable qu’il est prometteur.
Genève, septembre 2012
***
Au moment de la publication de cette thèse à la collection genevoise des
éditions Schulthess, j’aimerais adresser de très sincères remerciements à la
Commission des publications de m’autoriser à publier sous l’égide de mon
alma mater. Je tiens également à remercier le personnel administratif de la
Faculté de droit de l’Université de Genève pour son suivi de ce dossier, et à
Madame David-Mangin pour avoir répondu à mes nombreuses questions au
moment de procéder à l’édition. Je remercie également chaleureusement les
directions respectives des facultés de droit de Genève et de Laval pour leur
soutien financier essentiel. Enfin, j’adresse de très vifs remerciements à Jérôme
Massé, pour son soutien lors de la mise en forme du texte dans sa version
publiée. Sa rigueur et sa méticulosité ont été de puissants atouts dans cette
phase déterminante.
Québec, le 17 juin 2014
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