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COS de la HITTE (du). Armes d'azur à une épée d'argent, la poignée
d'or, (aliàs d'azur à une épée d'or),poséeen bande,lapointe enhaut.
-Aliàs (armes actuelles) d'azur à une épée d'or, posée en bande, la
pointe en haut, traversant un cœur d'or et accompagnée de trois
étoiles aussi d'or, 2 et 1. Couronne de Comte. – Supports un
lion et un cerf. Devise Fortitudo et celeritas.
La famille Cos HITTE, de très ancienne noblesse, est origi-
DU DE LA
naire du pays de Fezensac, en Gascogne, où dès le xm* siècle elle
possédait seigneurie de la Fitte, la Hitte.
une ou
M. Villain en a donné une généalogie dans le tome III de la France
moderne.On trouvera aussi surelle beaucoupde renseignementsdans
les divers recueils de manuscrits du Cabinet des Titres et dans
l'
Armoriai de la noblesse de Languedoc (généralité de Toulouse)
de M. de la Roque.
Les cartulaires de Sainte-Marie d'Auch signalent dès 1080 le nom
de la famille du Cos. La Chesnaye des Bois mentionne un Odet du
Cos qui, en 1230, donna des coutumes habitants de la Fitte. Un
aux
Guilhemdu Cos dela Hitte se croisa soussaintLouis. Un OdetduCos,
Sgr de la Hitte, était vers 1400 gouverneur de la ville d'Auch.
La filiation est présumée depuis Bernard du Cos, Sgr de l'Is-
un
lette, de Surimondeet de Sarrancolin, qui vivait dans les dernières
années du xiv» siècle. Géraud du Cos, Sgr de la Hitte, que l'on croit
avoir été fils du précédent, fut d'Auch et obtint 1405
gouverneur en
des lettres de rémission. On lui attribue pour fils un Géraud du Cos,
Sgr de la Hitte, qui fit son testament en 1477, et un Odet du Cos, Sgr
de la Hitte, qui épousa Audine de Maynault.
La filiation n'est rigoureusement établie qu'à partir d'un noble
Jacques du Cos, Sgr du lieu de la Fitte, comté d'Armagnac,diocèse
au
d'Auch, qui épousa,par contrat du 27 septembre 1530, noble demoi-
selle Agnès de Montlezun. On admet généralement que ce gen-
tilhomme était fils d'Odet et d'Audine de Maynault, mentionnésplus
haut. Cependant tableau généalogique conservé dans les Carrés
un
d'Hozier fait le fils d'un Guillaume du Cos et d'une dame dont le
en
est ignoré. Manaud du Cos, fils aîné de Jacques, épousa
nom en
1566 Jeanne d'Esparbès il en eut plusieurs filles qui recueillirent la
seigneuriede la Hitte.JacquesduCoseut trois autres fils 1° JacquesIl,
qui continua la descendance 2° Hercule, auteur de la branche des
seigneurs de Montcorneil, éteinte en 1672 3° Bertrand, auteur de la
branche de Saint-Sever, maintenue dans sa noblesse,le 2 juin 1699,
parjugementde le Pelletier de la Houssaye, intendant de Montauban,
et éteinte vers le milieu du xvni0 siècle. Jacques II du Cos épousa le
11 mars 1566 Françoise de Lalanne, héritière de la seigneurie de Sar-
rant, en Lomagne, à laquelle il donna le nom de la Hitte en souvenir
du berceau de famille. Il fut gentilhomme de la chambre du roi
sa
Henri III, par brevet du 18 janvier 1582, son lieutenant général au
gouvernement de Saluces 1585, chevalier de Ordre et
en son com-
mandeur pour son service au delà les Monts. Le plus jeune de ses
quatre fils, Jean-Philippe,fut admis dans l'ordre de Malte 1607 et
en
devint dans la suite commandeur de Raissac, puis de la Tronquière.
Les trois aînés, Bertrand du Cos, Sgr de la Hitte-Cadours, marié
en
1602 à Marie Gautier, Jean-François du Cos de la Hitte, marié 1600
en
à Perrette de Puydorphile,dame de Gaspard, et François, furentles
auteurs de trois branches. Les deux premières branches subsistent.
La troisième, dite des seigneurs de Salenave, fut maintenue dans sa
noblesse, le 14 mars 1715, par jugement de Laugeois, intendant de
Montauban, et s'éteignit 1764.
en
Bertrand, auteur de la branche aince, laissa lui-même deux fils,
Jacques du Cos, Sgr de la Hitte, gentilhomme ordinaire de la
chambre du Roi en 1661, marié en 1631 à Marie de Cantelou, et
Charles du Cos de la Hitte, Sgr de la Mothe, marié 1644 à Flo-
en
rinde de Sol, qui furent les auteurs de deux rameaux.
Le premier rameau fut maintenudans sa noblesse, le 4 février 1668,
par jugement de Sanson, intendant de Montauban. Son dernier
représentant, Joseph-Marie du Cos, connu sous le titre de comte de
la Hitte, marié en 1759 à Françoise Dionis, vendit en 1764 la sei-
gneurie de la Hitte pour achetercelle de Montaut, première baronnie
d'Armagnac et de Fezensac. Il n'eut pas d'enfantset, par testament
du 19juin 1772, institua héritier universel Jean-François-Renédu Cos
de la Hitte, Sgr de Gaspard, fils aîné du chef de la seconde branche.
Le second rameau, dit des seigneurs de la Mothe et d'Armoise,
fut maintenu dans sa noblesse, le 14 mars 1718, par jugement de
Laugeois. Son chef, Jean du Cos de la Hitte, Sgr de la Motheet d'Ar-
moise, filsde Charles,épousad'abord, 1674, Marguerite de Thomas
en
d'Argelès, puis, 1682, Françoise d'Antres. Il eut du premier lit
en un
fils, Jean-Baptistedu Cos de la Hitte, Sgr d'Armoise, qui épousa en
1714 Marie Delhoms et dont la descendance est représentée de nos
jours par Maurice du Cos, comte de la Hitte, né en 1865, marié en
1898 à M'" de Marcellus, et par leurs enfants. Il eut du second lit
un autre fils, autre Jean-Baptistedu Cos, Sgr de Belbèze, officier au
service de l'infant d'Espagne don Carlos, tué à la bataille de Plai-
dont la descendance s'éteignit don Francisco du Cos de
sance, avec
la Hitte, brigadier au service d'Espagne, mortà Montevideo en 1800,
et avec son fils, don Julian, capitaine d'infanterie, tué comme pri-
sonnieraprès la bataille de Chacabuco.
Le chef de la seconde branche, François du Cos de la Hitte, Sgr
de Gaspard, né en 1601, marié en 1630 à Marthe de Luppé, fut main-
tenu danssa noblesseavec ses enfants, le 20 décembre 1669, par juge-
ment de M. de Bezons, intendantdu Languedoc. Son arrière. petit-fils,
Jean-René du Cos de la Hitte, Sgr de Gaspard, né àToulouse en 1711,
décédé en 1801, épousa en 1744 M"" de Berty, puis en 1758 M"e de
Bergé. Le fils aîné de celui-ci, Jean-François-René, mort pendant
l'émigration 1794, fut légataire universel de Joseph-Marie, comte
en
de la Hitte, chef de la branche aînée il ne laissa qu'une fille mariée
en 1812 au baron d'Arblade de Séailles. Jean-René eut plusieurs fils
cadets.On trouvera dans le Nouveau d'Hozierles preuvesde noblesse
qu'un de ceux-ci, Jean-François-René, né à Grenade en 1759, fit en
1769 pour être admis à l'École militaire. Deux autres, Jean-Benoit,
connu sous le titre de vicomte de la Hitte, né en 1746, page de la
Reine en 1763, marié en 1781 à MUc de Gineste, et Louis-Antoine du
Cos de la Hitte, né à Grenade 1764,lieutenant-coloneldu régiment
en
de Montevideo, marié à Buenos-Ayres en 1787 à dona Maria Foribia
de Elia, furent les auteurs des deux grands de la branche
rameaux
cadette.
Le second de perpétue distinction dans la
ces rameaux se avec
République Argentine.
Jean-Benoit, vicomtede la Hitte, auteur du premier rameau, laissa
lui-même deux fils. L'aîné de ces fils, Pierre-Edouarddu Cos, connu
sous le titre de comte de la Hitte, né en 1783, épousa en 1811 M"0 de
Combettes de la Bourélie il été le grand-père d'Édouard, comte de
a
la Hitte, né en 1854, qui n'a eu que des fillesde son mariage,en 1883,
avec M"° d'Orcival de Peyrelongue.Jean-Ernestdu Cos, vicomte de
la Hitte, secondfils de Jean-Benoît, né en 1789, décédé en 1878, donna
à grande illustration et fut général de division, ministre
son nom une
des Affaires étrangères, ambassadeur Prusse, sénateurdu Second
en
Empire et grand-croix de la Légion d'honneur. Il fut père de Louis-
Ernest, vicomte de la Hitte, né 1828, général de division, grand-
en
officier de la Légion d'honneur, décédé en 1904, qui a lui-même laissé
deux fils.
En dehors des personnages mentionnésau cours de cette notice, la
familledu Cos de la Hitte a fourni des pages des rois et des reines de
France, ministreplénipotentiairede la République Argentine,des
un
gentilshommesde la chambre du Roi, des officiers de mérite, dont
plusieurs ont été tués à l'ennemi, etc.
Quatre de ses membresont été admis dansl'Ordrede Malteen 1602,
1607,1614 et 1621.
Principales alliances de Montesquiou, de Montlezun 1530, d'Es-
parbès 1S66, de Lamezan, d'Antras 1682, de Mauléon 1786, de
Cugnacl820,deCastelbajacl882,MartinduTyracde Marcellus 1898,
de Luppé 1630, de Beaumont 1694, de Cailus 1782, de Férault de
Falandres 1863, 1906, dePolastron 1613, de Cheverry 1662, de Preis-
sac, de Sarret, etc.
COS (ou DUCOS) de SAINT-BARTHÉLEMYde GELAS (du). Armes
écartelé aux 1 et 4 d'azur à une épée d'argent, posée en bande et
accompagnée de trois étoiles du même, deux en chef et une en
pointe, qui est du Cos de la Hitte ancien aux 2 et 3 d'azur à un lion
d'or, lampasséet couronné de gueules, qui est de Gélas.
La famille Cos (ou Ducos) Saint-Bauthélemï,anciennement
du
DE
connue dans l'Albret et dans le Bruilhois, a émis à plusieurs reprises
la prétentiond'être une branche de la famille du Cos de la Hitte. Elle
a adopté les armoiries de cette famille et a souventjoint à son nom
celui de la Hitte. Elle fut condamnée à quitterce nom sur les récla-
mations du général du Cos de la Hitte, décédé en 1878.
On ne voit pas que la famille du Cos de Saint-Barthélemy ait jamais
été l'objet d'un jugementde maintenuede noblesse.Elle paraits'être
agrégée à la noblesse au cours du xvm° siècle, commetant d'autres,
principed'anoblissementrégulier.
sans
Pierre Ducos, auquel remonte la filiation, se qualifiait sieur de
Bourgade,dans la juridiction de Fieux, Albret. Il fut nommé juge
en
royal de Francescas par lettres patentes du 8 mars 1635. Il eut deux
1
fils Jean Ducos, sieur de Bourgade, qualifiéécuyer dansplusieurs
actes, qui épousa en 1656 Gracie Tappie, fille d'un receveur des
tailles d'Armagnac,et dont la descendance s'éteignit avec ses deux
petites-filles, MmtB du Bernet de Garros et de Bazignan 2° Jean-Fran-
çois Ducos, sieur de Saint-Ourens, qui continua la descendance.
Celui-ci eut à son tour deux fils, Louis, sieur de Saint-Ourens, et Jean,
chevalier de Saint-Louis, qui, par acte du 1er décembre 1710, acqui-
rent de la famillede Bazon la seigneurie de Saint-Barthélemy,située
dans la paroisse de Francescas. L'afné de ces deux frères fut père de
Jean-François Ducos, Sgr de Saint-Barthélemy, qui épousa 1737
en
Louise-Candide de Cambon et qui eut nombreuse postérité,
en une
aujourd'huireprésentée par plusieursrameaux. Une des petites-filles
de Jean-François, M"" Clairin, née Ducos de Saint-Barthélémy, eut
dans part la terre de Saint-Barthélemy descendants
sa que ses pos-
sèdent encore. Pierre-Jean-François Ducos de Saint-Barthélemy,
frère de Clairin, épousa Rose-Olympe de Gélas. Leur fils, Fran-
M1"0
çois-Camille Ducos de Saint-Barthélémy,né le 10 prairial an XIII à
Saint-Martin-de-Goyne,marié 1841 à M"' de Ferbeaux de Magnos,
en
demeurant à Toulouse, et leur petit-fils, Joseph-Louis-Amanieu, né
en 1842 à Saint-Martin-de-Goyne, marié dans la suite à M"c de Joly,
III,
furent autorisés, le 13 août 1861, par décret de Napoléon à joindre
à leur nom celui de la famille de Gélas, alors éteinte, à laquelle
appartenait leur mère et aïeule.
M. du Cos de la Hitte de Saint-Barthélémyprit part en 1789 aux
assemblées de la noblesse tenues à Condom.
Principales alliances de Tappie 16S6, du Bernet de Garros 1727,
de Bazignan,de Cambon 1737, de Goyon, de Gélas, de Chastenetd'Es-
terre, de Ferbeauxde Magnos, de Joly, de Barescut 1898, etc.
La famille de Gélas, dont un rameau de la famille du Cos de Saint-
Barthélemy a été autorisé à relever le nom, appartenait à l'ancienne
noblesse de Gascogne. Elle possédait dès le siècle la seigneurie
xme
de son nom, située près de Condom. Elle fut maintenue dans sa
noblesse en 1700, sur preuves remontant à 1499, par jugement de
Legendre, intendant de Montauban. Son chefprit part en 1789 sous
le titre de comte aux assemblées de la noblesse tenues à Condom.
Elle parait être distincte de la puissantefamille de Gélas de Leberon,
du reste beaucoupmoins ancienne, qui rachetala terre de Gélas,
en
obtint l'érection en comté par lettres patentes de novembre 1711 et
produisitun maréchal de France 1737, le comtede Gélas-Lautrec.
en
COSELBONNE (Baille de). Voyez BAILLE COSELBONNE.
DE
COSMAO-KERJULIEN, DUMÉNEZ et DUMANOIR. Armes concédées
sous le PremierEmpire au contre-amiralCosmao-Kerjulien écartelè
au 1 d'azur à deux étoiles d'argentposées en barre au 2 de gueules
à l'épée haute en pal d'argent, qui est des barons militaires au 3 de
i
gueules plein; au d'azur à un vaisseaude lignesoutenu d'une mer,
le tout d'argent à la croix d'or brochant sur les quatre quartiers.
La famille Cosmao, originaire des environs de Quimper, Basse-
en
Bretagne,appartient à la haute bourgeoisie de sa région.
Jacques Cosmao était en 1770 notaire et procureur en la Cour
royale de Châteaulin. Il eut six fils dont l'un, Jacques Cosmao, fut
avoué à Châteaulin et dont quatre se distinguèrenten joignantà leur
nom de Cosmao les surnoms de Dumanoir, Dumenez, Kermenguy et
Kerjulien. Jules Cosmao-Kerjulien, le plus de six frères,
connu ces
naquit à Châteaulin en 1761, s'engagea comme volontaire dans la
marine, fut nommé en 1781 lieutenant de frégate, arriva en 1806 au
grade de contre-amiral et fut créé baron de l'Empire par lettres
patentes du 16 décembre 1810. Pair de France et préfet maritime à
Brest à l'époque des Cent Jours, Cosmao-Kerjulien fut disgracié
lors de la Seconde Restauration et mourut dans la retraite à Brest
1825. Il était chevalier de Saint-Louis, commandeurde la Légion
en
d'honneur et grand d'Espagne de première classe. Il n'eut deux
que
filles dont l'une épousa le contre-amiralBazoche. Louis-Aimé Cos-
mao-Dumanoir,né à Brest en 1783, neveu du précédent, fut nommé
contre-amiralen 1842 et préfet maritimeà Lorienten 1847 il mourut
dans cette ville 1864 laissant deux fils, officiers distingués, qui
en
ont l'un et l'autre postérité. Sélim Cosmao- Dumenez, issu d'une
eu
autre branche, né à Pont-l'Abbéen 1840, docteur en médecine, fut élu
en 1889 et 1893 député opportunistedu Finistère.
COSNAC (de) Armes d'argent semé d'étoiles de sable, au lion de même
brochant sur le tout. Couronne de Marquis. Supports deux
sauvages à la ceinture feuillée de sinople, appuyés sur leurs mas-
sues. Cimier un lion issant de sable. Devise Neque aurum
honora, argenium.
neque
La maison Cosnac est une des plus illustres de la noblessedu
DE
Bas-Limousin.
Son histoire a été écrite par Baluze. Onen trouveraaussi des généa-
logies dans le Nouveau d'Hozier, dans le Nobiliaire universel de
Saint-Allais, dans le Nobiliaire du Limousin de Nadaud, etc. La
maison de Cosnac futadmise sous LouisXVIaux honneursde la Cour.
On trouvera dansles manuscritsde Chérin le rapportofficiel du généa-
logiste Berthier, chargé d'examiner les preuves de noblesse qu'elle
dutfaireen cette circonstance. Ce rapportcommenceen ces termes
La maison de Cosnac a pris son nom d'une terre située en
«
Bas-Limousin, près la ville de Brives. Une ancienneté remontée à
«
Description:la Chesnaye des Bois et dans le Dictionnaire historique et généalo- 23juin 1S6S danslequel il estainsidésigné, honnête femmeFrançoise. Duteau